Pointde vente Ă  la ferme avec d'autres produits locaux tels que des volailles, du cidre. Ouvert du lundi matin au dimanche midi toute l'annĂ©e. Type produit alimentaire: Cidre, Conserves, Epices et condiments, Fruits et lĂ©gumes, Jus de fruits, Elevages, Foie gras/Magrets/Confits. Type produit artisanal: Agriculture-Horticulture-Elevage Les produits L’agneau, le moutonLes produits L’agneau, le moutonVoici un petit rĂ©sumĂ© du cours sur l’agneau, le le mouton Selon l’ñge, l’agneau est appelĂ© successivement agneau, agneau blanc, agneau de lait, agneau gris Les agneaux de prĂ© salĂ© sont Ă©levĂ©s au bord de la mer.Puis brebis femelle reproductrice ou bĂ©lier mĂąle reproducteur.L’AgneauPetit mĂąle ou femelle de la brebis, ĂągĂ© de moins de 300 jours, au terme desquels il est appelĂ© >. Sa viande parfumĂ©e est plus tendre et plus dĂ©licate que celle de ce dernier. On consomme aujourd’hui en France beaucoup plus d’agneau que de carcasses sont classĂ©es d’aprĂšs leur conformation Et leur Ă©tat d’engraissement chiffre de 1. À 5. La chair doit ĂȘtre rouge, rosĂ© sans excĂšs, ferme et la graisse blancheBien que l’agneau puisse se traiter comme le mouton avec cette diffĂ©rence qu’il ne doit jamais ĂȘtre servi saignant, il y a bien des prĂ©parations qui, dĂ©licieuses avec l’agneau, ne le seraient plus avec un mouton; en d’autres termes, si on peut toujours appliquer Ă  l’agneau les recettes du mouton, on ne peut pas appliquer Ă  ce dernier toutes les recettes qui conviennent Ă  l’agneau. Les cĂŽtelettes d’agneau peuvent subir bien davantage d’apprĂȘts que celles de et consommation. L’agneau vient de diffĂ©rentes rĂ©gions françaises bien que souvent nĂ© dans les pays d’Europe de ’Est et nourri en France pendant ses derniers mois mais aussi de Grande-Bretagne et de Nouvelle-ZĂ©lande. Le prĂ©-salĂ©, trĂšs rare et cher, est un agneau Ă©levĂ© et engraissĂ© dans les herbages proches de la mer, imprĂ©gnĂ©s de sel et d’iode, et dont la zone est rigoureusement rĂ©glementĂ©e Mont-Saint-Michel, par exemple. Sa chair acquiert ainsi une saveur particuliĂšre et donne une viande de grande qualitĂ©. L’agneau de lait 2 Ă  4 mois possĂšde une chair plus blanche et plus tendre. La viande d’agneau se congĂšle trĂšs bien celle qui est importĂ©e est congelĂ©e mais le grain de la chair peut en ĂȘtre modifiĂ© et perdre de sa DE LAIT L’agneau employĂ© en cuisine est de deux sortes l’agneau de lait qui n’a pas encore broutĂ©, qui est classĂ© parmi les Viandes blanches, et dont le type est l’agneau de Pauillac ; et l’agneau sevrĂ©, dont la chair se rapproche dĂ©jĂ  de celle du mouton tout en Ă©tant plus tendre. – Ce dernier genre, qu’on appelle prĂ©-salĂ© » Ă  cause de la finesse de sa chair qui rappelle celle des moutons des prĂ©s salĂ©s, est employĂ© comme le mouton et peut recevoir toutes les prĂ©parations qui conviennent Ă  ceux-ci. Dans cette sĂ©rie, nous ne considĂ©rons que l’Agneau de MOUTON La viande de mouton est excellente aussi bien par sa saveur que par ses qualitĂ©s hygiĂ©niques et nutritives. Une cĂŽtelette grillĂ©e est lĂ©gĂšre et saine, en revanche les rognons sont assez lourds Ă  digĂ©rer. Les moutons les plus apprĂ©ciĂ©s nous viennent des bords de la mer; ce sont les fameux prĂ©s-sales. La chair du mouton doit ĂȘtre d’un beau rouge, lĂ©gĂšrement rembruni, couverte d’une bonne couche de graisse ferme et blanche Le mouton est consommĂ© sous forme de grillade cĂŽtelettes, rognons, chops, etc.; de rĂŽti gigots, selles, Ă©paules, ou encore en ragouts ou sautĂšs . collier, Ă©paule, bas morceaux, fressure, pieds, DE L’AGNEAU OU DU MOUTONLes produits L’agneau, le moutonAstuceOn peut cuire L’agneau Ă  la poĂȘle sans ajout de matiĂšres grasses. Bien faire chauffer la poĂȘle, poser dedans la partie la plus grasse de la piĂšce de viande, utiliser la matiĂšre grasse fondue pour cuire les deux SPÉCIFIQUESBARON ET DOUBLE Le BARON comprend les deux gigots et la selle, et constitue l’une des plus belles piĂšces qui soient. Le DOUBLE est reprĂ©sentĂ© par les deux gigots non sĂ©parĂ©s. – L’un et l’autre se servent exclusivement comme relevĂ©s, et sont toujours rĂŽtis. – Pour ces piĂšces, le jus clair, ou trĂšs lĂ©gĂšrement liĂ©, est ce qui convient le mieux pour accompagnement. Pour les garnitures qui comportent une sauce, celle-ci doit ĂȘtre tenue trĂšs claire. Garnitures qui leur sont applicables. DAUPHINE, DUCHESSE, BOUQUETIÈRE, BRISTOL, FERVAL, FRASCATI, HUSSARDE, JARDINIÈRE, JAPONAISE, MACÉDOINE, MILANAISE, PORTUGAISE, PROVENÇALE, RENAISSANCE, RICHELIEU, SARDE, selle anglaise Peut ĂȘtre coupĂ©e dans la longueur pour obtenir 2 filets Une Lamb chop Une tranche dans la selle anglaise Une Mutton chop Une cĂŽtelette d’agneau taillĂ©e dans le filet ou la selle, CĂŽtelette de filet taillĂ©e Ă©paisse, parĂ©e courte, et grillĂ©e. Se sert gĂ©nĂ©ralement nature, mais peut s’accompagner des garnitures ordinaires des cĂŽtelettes. Les noisettes Petite tranche dans le filet ou le carrĂ© dĂ©sossĂ©Certains morceaux et recettes CÔTELETTESDans l’ordre normal des services, les cĂŽtelettes d’agneau se servent par deux, comme les noisettes. Celles d’agneau de prĂ© salĂ© se prĂ©parent comme celles de mouton, et peuvent ĂȘtre traitĂ©es Ă©galement comme les cĂŽtelettes d’agneau de lait. A moins d’indication contraire, les cĂŽtelettes d’agneau sont panĂ©es au beurre quand elles doivent ĂȘtre grillĂ©es, et Ă  l’anglaise si elles doivent ĂȘtre sautĂ©es ; sauf, toutefois, quand, comme dans certains de leurs modes d’apprĂȘt, elles sont garnies Ă  nu ou Ă  la. – SautĂ©es, dressĂ©es en turban, avec garniture de flageolets Ă  la bretonne au centre. Filet de jus – GrillĂ©es et emballĂ©es en crĂ©pine avec macaroni Ă  la crĂšme 80 grammes par piĂšce, tronçonnĂ© et additionnĂ© d’un quart de son poids de tomates pelĂ©es concassĂ©es. Saupoudrer de chapelure et griller Ă  la salamandre ou passer au four. – Cordon de sauce demi-glace tomatĂ©e claire d’agneau de prĂ©-salĂ© se traitent comme les Ă©paules de mouton. Quelle que soit la prĂ©paration de celles d’agneau de lait, elles ne doivent pas ĂȘtre Ă  la. – DĂ©sossĂ©e, assaisonnĂ©e intĂ©rieurement, roulĂ©e et ficelĂ©e. Faire colorer au four pendant une demi-heure. Placer l’épaule sur plat en terre ; entourer de 1 kil. De pommes de terre en quartiers ou Ă©mincĂ©es, et de 400 grammes d’oignons grossiĂšrement Ă©mincĂ©s et passĂ©s au beurre. Arroser avec la graisse de cuisson de l’épaule et terminer la cuisson au four, en arrosant – Enlever l’os du quasi, raccourcir le manche et faire colorer le gigot au four. Marquer en braisage ; couvrir de fonds blanc juste Ă  couvert, et cuire Ă  raison de trois quarts d’heure Ă  la livre. Égoutter la piĂšce ; passer, dĂ©graisser, rĂ©duire la cuisson, et glacer le gigot en l’arrosant de quelques cuillerĂ©es de cette rĂ©duction. – Accomp. le fonds rĂ©duit additionnĂ© d’un peu de madĂšre, et en sauciĂšre. – Le gigot braisĂ© a ordinairement une purĂ©e comme garniture, soit purĂ©e de pommes, haricots, navets, choux-fleurs, Est gĂ©nĂ©ralement employĂ©e pour les Navarins, Irish-Stew, Cassoulets, etc. Elle s’emploie aussi pour Épigrammes aprĂšs avoir Ă©tĂ© bouillie ou braisĂ©e ; mais cette prĂ©paration s’applique plutĂŽt Ă  l’agneau qu’au mouton. Enfin elle s’apprĂȘte d’aprĂšs les diffĂ©rents modes suivants Diable Ă  la. – BraisĂ©e, dĂ©taillĂ©e en carrĂ©s enduits de moutarde cayennĂ©e et panĂ©s Ă  l’anglaise. Griller et accompagner d’une sauce Ă  la Diable trĂšs DE MOUTON Prop. Pour 1 service 2 kil. De mouton. Faire rissoler au saindoux 250 grammes de lardons maigres et 300 grammes de petits oignons, et Ă©goutter. Passer Ă  la place 2 kil. Mouton poitrine, collet et Ă©paule dĂ©taillĂ© en ragoĂ»t. Égoutter l’excĂšs de graisse, ajouter 3 gousses d’ail Ă©crasĂ©es, 40 grammes de farine, et laisser roussir celle-ci. Mouiller de 1 litre d’eau ; assaisonner de 8 grammes de sel et 1 gramme de poivre, et ajouter 1 bouquet garni. Cuire pendant une demi-heure ; Ă©goutter les morceaux dans une autre casserole ; y joindre lard, oignons, litre haricots blancs cuits Ă  moitiĂ©, et passer la sauce dessus. Finir de cuire au four, et dresser en petites Hachis de mouton, additionnĂ© de chair d’aubergine frite, liĂ© de 2 Ɠufs au kilogramme de hachis, d’un peu de mie de pain, oignons, champignons et persil hachĂ©s ; 1 dĂ©cilitre d’espagnole tomatĂ©e fortement, bien relevĂ©e et assez serrĂ©e. Pour 1 service de 10. – Peler 2 aubergines ; les Ă©mincer en grosses rondelles, assaisonner, fariner et frire Ă  l’huile. Fendre en deux 6 autres aubergines, sur la longueur, les ciseler intĂ©rieurement, les frire, les vider de leur chair qui est ensuite hachĂ©e et additionnĂ©e Ă  2 fois son poids de hachis de mouton, 2 Ɠufs, 50 grammes d’oignon, 5 grammes persil, 125 grammes champignons hachĂ©s, 1 dĂ©cilitre d’espagnole tomatĂ©e. – Avec les peaux des aubergines, foncer un moule Ă  charlotte bas, grassement beurrĂ©, garnir ce moule par couches alternĂ©es de hachis, et de rondelles d’aubergines frites. Couvrir avec les peaux d’aubergines restantes ; un papier beurrĂ© sur celles-ci et cuire pendant une heure au bain-marie. DĂ©mouler, aprĂšs l’avoir laissĂ© reposer 5 minutes. Saupoudrer de persil Pour 1 service. – 2 kil. 500 de mouton poitrine, collet, Ă©paule, basses cĂŽtes taillĂ© en morceaux de 90 Ă  100 grammes, revenu vivement en plein feu avec de la graisse clarifiĂ©e. Assaisonner de 12 grammes de sel, poivre du moulin, 5 grammes de sucre en poudre celui-ci se dĂ©pose lentement au fond de la casserole oĂč il s’attache et caramĂ©lise ; il est ensuite dĂ©composĂ© par le mouillement auquel il communique la couleur nĂ©cessaire en mĂȘme temps qu’il donne du moelleux au fonds. Quand les viandes sont bien rissolĂ©es, Ă©goutter presque toute la graisse, singer de 60 grammes de farine et mouiller d’un litre et demi d’eau ou de fonds. Ajouter 300 grammes de tomates fraĂźches ou 1 dĂ©cilitre et demi de purĂ©e, 1 gousse d’ail Ă©crasĂ©, 1 bon bouquet garni. Laisser cuire une heure. Égoutter ensuite le navarin sur un tamis prendre les morceaux un Ă  un, pour les parer et les remettre dans une autre casserole. Ajouter 300 grammes de petits oignons glacĂ©s et 30 pommes de terre tournĂ©es comme pour les pommes Ă  l’anglaise. Passer la sauce sur le navarin aprĂšs l’avoir bien dĂ©graissĂ©e. Faites partir en Ă©bullition. Couvrir hermĂ©tiquement, et cuire encore 1 heure. En sortant la casserole du four, la pencher d’un cĂŽtĂ© pour faciliter le dĂ©graissage. Servir trĂšs chaud en DE MOUTON A LA TURQUE Le pilaw de mouton n’est, en principe, qu’un navarin, dans lequel la tomate domine, qui se condimente de gingembre ou de safran, suivant les cas ; et oĂč le riz remplace les lĂ©gumes ordinaires du navarin. PrĂ©parĂ© ainsi, il se prĂȘte mal aux exigences d’un service de restaurant. Aussi le prĂ©pare-ton le plus souvent comme le curry de mouton. Mais au lieu de l’accompagner de riz Ă  l’Indienne, on le dresse au centre d’une bordure de riz pilaw. Quelquefois mĂȘme le riz est servi Ă  part, comme s’il s’agissait d’un Toutes les garnitures indiquĂ©es Ă  l’article Baron et Double » sont applicables Ă  cette piĂšce. C’est des filets de la selle que sont tirĂ©es les noisettes qui, avec les tournedos, reprĂ©sentent l’un des articles les plus usitĂ©s du travail courant. – La selle de mouton se sert braisĂ©e ou rĂŽtie. La selle d’agneau de prĂ© salĂ© se traite d’aprĂšs les mĂȘmes formules que celle de mouton. La selle d’agneau de lait, d’aprĂšs les procĂ©dĂ©s indiquĂ©s Ă  la selle de veau, en tenant compte de la diffĂ©rence de proportions des – ParĂ©e, ficelĂ©e et marquĂ©e selon le procĂ©dĂ© gĂ©nĂ©ral des braisages. Lorsqu’elle est Ă  point, elle est dĂ©ficelĂ©e et mise en plaque pour ĂȘtre glacĂ©e avec son fonds de braisage dĂ©glacĂ© et Les carrĂ©s d’agneau de prĂ©-salĂ© se traitent comme ceux de mouton. – Ceux d’agneau de lait sont poĂȘlĂ©s ou grillĂ©s, de prĂ©fĂ©rence Ă  tout autre Partie comprenant le gigot et une moitiĂ© de la selle. Son traitement est le mĂȘme que celui du produits L’agneau, le moutonÀ la cuisine. Il est encore de tradition de servir l’agneau le jour de PĂąques mais on en trouve toute l’annĂ©e. Selon les morceaux il se consomme grillĂ© cĂŽtelettes, rĂŽti gigot et Ă©paule, braisĂ© ou en sautĂ© pour les autres morceaux. Des morceaux d’épaule marinĂ©s dans une huile aromatisĂ©e feront d’excellentes brochettes. DiĂ©tĂ©tique. La viande d’agneau est en gĂ©nĂ©ral assez grasse mais cela est variable d’un morceau Ă  l’autre. Cette graisse riche en acides gras saturĂ©s est dĂ©conseillĂ©e dans la plupart des rĂ©gimes. ll est donc prĂ©fĂ©rable de l’éliminer. Comme toutes les viandes jeunes, elle est plus riche en eau et assez pauvre en minĂ©raux, particuliĂšrement en MODES DE DE CUISSONCĂŽtelettes, Lamb chop, Mutton chop, Noisette1Sauter, grillerGigot, selle, filet, carrĂ©1RĂŽtirPoitrine et collier en morceaux2Braiser rĂŽtirÉpaule dĂ©sossĂ©e3RagoĂ»tPoitrine et collier en morceau3Pocher Agneaude prĂ© salĂ© : une chair trĂšs blanche. Ce mode d’élevage confĂšre donc bien Ă©videmment Ă  la viande un goĂ»t trĂšs particulier. Ainsi, ce jour, Yannick Frain livre une carcasse entiĂšre Ă  Christophe Wasser, chef du restaurant L’Ormeau Ă 
Mais quel est donc ce petit animal qui broute l’herbe rase sur ces grandes Ă©tendues entre la terre et la mer face au Mont Saint-Michel ? C’est le cĂ©lĂšbre mouton de prĂ©s-salĂ©s !Les prĂ©s-salĂ©s, ce sont avant tout ces prairies herbagĂšres recouvertes rĂ©guliĂšrement par la mer, lors des grands coefficients de marĂ©e. Cette caractĂ©ristique des marais salĂ©s, permet l’élevage pastoral des moutons. Cela confĂšre Ă  leur chair un goĂ»t inimitable. C’est grĂące Ă  cette vĂ©gĂ©tation dite halophyte, car adaptĂ©e Ă  la salinitĂ© du sol, que le mouton obtiendra ce caractĂšre gustatif si particulier. MalgrĂ© ce que l’on pourrait penser, sa viande n’a pas un goĂ»t salĂ© prononcĂ©, mais sa saveur est reconnue plus fine qu’un agneau de pays peu d’histoireLa pratique de cet Ă©levage est trĂšs ancienne. DĂšs le XIĂšme siĂšcle, les moines de l’abbaye du Mont Saint-Michel ont un droit de brebiage », c’est-Ă -dire qu’ils pouvaient choisir la plus belle brebis dans chaque troupeau des exploitations voisines. Le dĂ©veloppement des pĂšlerinages au Mont Saint-Michel permet de faire connaitre ce met Ă  travers de nombreuses rĂ©gions, grĂące aux rĂ©cits des nombreux XXĂšme siĂšcle, avec l’arrivĂ©e des premiers touristes », l’agneau de prĂ©s-salĂ©s cultive sa renommĂ©e. Depuis la Seconde Guerre Mondiale, on associe l’image du Mont Saint-Michel Ă  ce produit gastronomique saviez-vous ?L’agneau de prĂ©s-salĂ©s du Mont Saint-Michel est une appellation reconnue au niveau europĂ©en. Cette appellation implique de suivre un mode d’élevage strict, garantissant la qualitĂ© de l’agneau. Les races, destinĂ©es Ă  recevoir ces appellations d’origine, doivent pouvoir vivre dans des conditions de pĂąturage particuliĂšres. Le mouton de l’avranchin en fait notamment moutons pĂąturant dans les prĂ©s-salĂ©sBon Ă  savoir L’agneau de prĂ©s-salĂ©s naĂźt durant les mois d’hiver, sous la surveillance assidue de ses Ă©leveurs passionnĂ©s, qui perpĂ©tuent ce savoir-faire. Il pĂąture au moins 70 jours sur ces herbus afin d’obtenir le label AOP. On le trouve plutĂŽt Ă  partir de mai-juin. Mais historiquement, l’agneau de prĂ©s-salĂ©s se dĂ©guste surtout Ă  l’automne et Ă  savoir A PĂąques, il n’atteint pas encore la pĂ©riode requise, nous ne pouvons donc pas le trouver dans nos assiettes Ă  cette pĂ©riode !Et la salicorne, qu’est-ce que c’est ? La salicorne est une plante halophile qui pousse sur les herbus. Elle est broutĂ©e par les moutons de prĂ©s-salĂ©s. Cette petite plante, faite de tiges tendres et charnues, est principalement rĂ©coltĂ©e en mai et juin. Elle peut se consommer cuite ou crue, nature ou en vinaigrette, seule ou en salade avec d’autres ingrĂ©dients.
Description Pauillac, dans le Bas-MĂ©doc, haut-lieu de la viticulture bordelaise frangĂ© par l’estuaire de la Gironde, a donnĂ© son nom Ă  un agneau de prĂ©-salĂ© de prestige, hĂ©ritier de traditions ancestrales. De nos jours, l’aire de production de l’agneau de Pauillac correspond au dĂ©partement de la Gironde. Ce terroir offre les
CĂŽte de bƓuf CĂŽte de bƓuf de de bƓuf de Salers CĂŽte de bƓuf de l'Hymalaya elles sont conservĂ©es dans des caves recouv... PrĂ©parations bouchĂšres Nous vous proposons toutes les deux ou trois semaines diffĂ©rentes sortes de prĂ©parations bouchĂšres faites ... Boucherie Ă  Massieux L’alimentation des veaux au lait entier donne une viande beaucoup moins grasse et beaucoup plus juteuse et...
songezplutĂŽt : Ă©levĂ©s depuis plus de mille ans aux abords du mont saint-michel mais aussi dans la baie de somme, dans cet espace oĂč la terre et la mer se rencontrent et oĂč la vĂ©gĂ©tation est
Chaque jour, les agneaux parcourent les marais pour trouver leur ration de nourriture. © Bertrand Desprez pour L'Express "Je vais vous dire mes agneaux, personne ne sait mieux que moi ce qui leur convient. Alors, si quelqu'un refuse d'accorder le label AOC Ă  l'un d'eux parce qu'il est trop vieux, je m'en fous ! L'important c'est mes bĂȘtes, pas la rĂ©glementation." Il est comme ça, GĂ©rard Legruel nature. Jusqu'Ă  la caricature parfois... Mais Ă  62 ans, il a passĂ© l'Ăąge de faire des ronds de jambe devant les uns ou les autres. Bavard trĂšs, attachant tout autant, atypique, notre homme n'a qu'un but Ă©lever son troupeau dans les meilleures conditions possible. De fait, le terrain de jeu de ses 170 agneaux est immense - 450 hectares de marais salĂ©s, vastes terres inhabitĂ©es et protĂ©gĂ©es par leur statut de domaine public. Un paysage sublime et rude Ă  la fois. "Vous voyez, ça fait tout ça, de lĂ  Ă  lĂ ", lance-t-il dans un geste large, pas peu fier de son "pays". "Tout ça", c'est la baie de CrĂ©ances, dans la Manche, envahie par le brouillard en cette fin d'aprĂšs-midi de dĂ©cembre - envahie, aussi et surtout, par la mer au grĂ© des marĂ©es. Une aire gĂ©ographique unique au monde qui s'Ă©tend sur toute la baie du Mont-Saint-Michel. Si exceptionnelle mĂȘme, qu'elle a permis, en 2009, une reconnaissance officielle par le biais d'une certification AOC appellation d'origine contrĂŽlĂ©e. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement "Respecter la terre et l'ordre des choses"Pour obtenir ce fameux label, les conditions sont draconiennes l'animal doit ĂȘtre nourri un mois et demi au lait de sa mĂšre, puis pĂąturer sur des marais salĂ©s soixante-dix jours au minimum la moitiĂ© de sa vie. Il doit aussi peser au moins 14 kilos, ĂȘtre surveillĂ© quotidiennement et tondu avant le 15 juillet. A quoi il faut ajouter bien d'autres critĂšres. GĂ©rard Legruel en est convaincu "L'important c'est [les] bĂȘtes, pas la rĂ©glementation." © Bertrand Desprez pour L'ExpressCar dans le dĂ©cret, d'une dizaine de pages, tout est spĂ©cifiĂ©. De la nourriture des plantes le jour, et pas plus de 400 grammes de concentrĂ©s le soir Ă  la durĂ©e maximale de transport Ă  l'abattoir - cinq heures. Jusqu'Ă  la surface en herbe disponible par animal "2,75 mĂštres carrĂ©s par brebis et par jour de repli" et l'apparence de la viande "un gras externe et interne ferme et de couleur blanc Ă  blanc crĂšme"! Ainsi, les consommateurs peuvent dĂ©sormais acheter en confiance un gigot estampillĂ© prĂ©-salĂ©. En toute logique, GĂ©rard Legruel devrait s'en rĂ©jouir, lui qui a notamment fourni les cuisines de l'AssemblĂ©e nationale et de la prĂ©sidence de la RĂ©publique française Ă  l'occasion du dernier G 20 qui s'est tenu Ă  Paris, il y a deux ans. Mais non ! "A cĂŽtĂ© de l'AOC, il y a l'AOT autorisation d'occupation temporaire [des sols] qui nous impose de rentrer le troupeau pendant six semaines - parce que les dĂ©jections polluent les sols, nous dit-on - alors que, l'hiver, il y a encore de la bonne herbe. Y'en a marre de ces rĂ©glementations Ă  la c... !" tempĂȘte-t-il, avec le cĂŽtĂ© vieil anar de celui qui, dĂ©cidĂ©ment, n'en fait qu'Ă  sa tĂȘte. Car GĂ©rard Legruel est un homme tenace. Un exemple? Au tout dĂ©but des annĂ©es 1990, quand il se lance dans les lĂ©gumes anciens carottes blanches, panais, cerfeuil tubĂ©reux..., il renonce aux engrais et privilĂ©gie le 100% naturel. Tant pis si, Ă  cette Ă©poque, aucun label bio ne lui rend justice. Tant pis Ă©galement si les rendements sont faibles et si la rĂ©munĂ©ration est insuffisante - quelques tables, aussi renommĂ©es fussent-elles comme le Byblos, Ă  Courchevel, ou Alain Passard, Ă  Paris, ne suffisent pas pour gagner correctement sa vie. Qu'importe. L'essentiel, martĂšle-t-il, c'est de "respecter la terre et l'ordre des choses". De mĂȘme, lorsqu'il achĂšte son premier troupeau, en 2000, il n'y connaĂźt rien ou presque. Et pourtant, il se refuse dĂšs le dĂ©but Ă  "faire comme les autres, ceux qui s'arrangent pour que leurs bĂȘtes arrivent Ă  maturitĂ© juste quand il faut, c'est-Ă -dire pour les fĂȘtes de j'ai encore un tiers du troupeau vivant en dĂ©cembre !" Pas question donc de troubler leur rythme biologique naturel. Ni de les "antibioticiser" sic ou de leur donner des vermifuges. Na-tu-rel on vous dit ! Quitte Ă  diminuer volontairement le nombre de ses bĂȘtes 170 actuellement, pour 300 il y a encore trois ans parce que, sinon, "Canelle et Gibus, [ses] deux chiens, ne pourraient pas s'en occuper correctement". Une tradition vieille de mille ansEvidemment, une telle exigence a un prix pendant les cinq premiĂšres annĂ©es, GĂ©rard Legruel n'a pas fait un sou de bĂ©nĂ©fice. Aujourd'hui, il n'obtient pas non plus le label AOC lorsqu'un de ses animaux est abattu aprĂšs douze mois, le seuil officiel mais qui "ne respecte pas forcĂ©ment la croissance des brebis". En outre, les pertes sont Ă©levĂ©es - 20 % environ du troupeau chaque annĂ©e Ă  cause de maladies, d'accidents ou de chutes dans les petits ruisseaux. Mais le rĂ©sultat est lĂ , incontestable une viande "au goĂ»t lĂ©gĂšrement iodĂ©, moins grasse que l'agneau ordinaire et qui, avantage supplĂ©mentaire, ne "suinte" pas durant la cuisson" constate Philippe Hardy, du restaurant le Mascaret, Ă  Blainville-sur-Mer Manche. Son goĂ»t unique a fait de lui le prĂ©fĂ©rĂ© des chefs de la rĂ©gion sur les tables de l'Intuition Saint-LĂŽ, l'agneau de prĂ© salĂ© est une star.© Bertrand Desprez pour L'ExpressLa raison ? "La laine du mouton absorbe les odeurs extĂ©rieures, et la chair, trĂšs poreuse, s'imbibe de cette peau. VoilĂ  pourquoi la nourriture qu'il ingĂšre jour aprĂšs jour se sent dans l'assiette - y compris pour ce qu'on appelle abusivement les bas morceaux, tels le collier ou le navarin", explique ce chef qui sert dans son Ă©tablissement Ă©toilĂ© l'agneau de prĂ© salĂ© en trois temps en crĂ©pinette, en carrĂ© et au four Ă  basse tempĂ©rature, farci puis "tranchĂ© tout simplement". De fait, dans les prĂ©s salĂ©s poussent des plantes spĂ©cifiques Ă  croissance lente, appelĂ©es halophytes. Puccinellie, salicorne, aster maritime... Au total, une soixantaine d'espĂšces diffĂ©rentes que l'on trouve uniquement sur ces habitats cĂŽtiers et qui donnent Ă  l'agneau sa saveur et sa couleur rouge foncĂ© si particuliĂšres. Avec une teneur en vitamine E "presque trois fois supĂ©rieure Ă  celle des autres viandes", prĂ©cise Alain Jacquet, chercheur Ă  l'Institut national de l'origine et de la qualitĂ© Inao. D'autant que "les bĂȘtes parcourent de 5 Ă  8 kilomĂštres dans les marais pour trouver leur ration quotidienne de nourriture, ce qui procure une jutositĂ© persistante Ă  la mastication". En langage culinaire, cela donne un "goĂ»t unique, tendre et d'une longueur en bouche exceptionnelle". Parole de Philippe Hardy. Parole d'expert. Les moines de l'abbaye du Mont-Saint-Michel ne s'y sont pas trompĂ©s qui, dĂšs le XIe siĂšcle, avaient instaurĂ© le droit dit de brebiage. Preuve que les hommes d'Ă©glise savent aussi apprĂ©cier les nourritures terrestres et la bonne chĂšre... Mille ans plus tard, la tradition demeure, les conditions de production n'ayant guĂšre Ă©voluĂ© depuis. GĂ©rard, lui, aimerait bien faire vivre sa petite entreprise encore un peu. Mais Ă  qui confier son Ă©levage ? Sa fille, chef de culture dans un lycĂ©e agricole de la rĂ©gion, est fonctionnaire et "elle n'a pas envie de s'emm..." regrette GĂ©rard. Il y avait bien Marjolaine, qu'il a connue toute gamine, venue un temps faire une formation chez lui, et qui "parlait de [ses] bĂȘtes comme un oenologue parle de son vin". Las! Elle a repris son mĂ©tier de diĂ©tĂ©ticienne, dĂ©plorant sans doute, comme lui, qu'il n'y ait "pas assez de place pour deux coqs sur un mĂȘme tas de fumier" sic."Je me laisse encore trois ans. Et si personne ne veut prendre la relĂšve, j'arrĂȘte." Avis aux amateurs. Il suffit d'Ă©crire Ă  GĂ©rard Legruel, 50710, CrĂ©ances, France. Gigot Ă  la française ou... Ă  l' Ă  la quasi-totalitĂ© des viandes, le gigot peut ĂȘtre dĂ©coupĂ© de deux façons diffĂ©rentes Ă  la française ou Ă  l'anglaise. Dans ce dernier cas, on le tranche parallĂšlement Ă  l'os. Les premiers morceaux sont plus cuits et, Ă  mesure que la dĂ©coupe avance, les suivants sont de plus en plus saignants. Ainsi, chaque convive choisit le mode de cuisson qui lui convient. L'autre mĂ©thode, dite "Ă  la française", consiste Ă  couper le gigot perpendiculairement Ă  l'os, de haut en bas et en commençant par le manche. Alors, faut-il privilĂ©gier la premiĂšre ou la seconde? "En matiĂšre de goĂ»t, il n'existe pas de vĂ©ritĂ© absolue", lance en prĂ©ambule HervĂ© This, chimiste et inventeur de la gastronomie molĂ©culaire - plus rĂ©cemment, de la "cuisine note Ă  note". Toutefois, la prĂ©sentation Ă  la française possĂšde un avantage indĂ©niable Ă  ses yeux "L'axe perpendiculaire permet, sur une mĂȘme tranche, d'avoir Ă  la fois du grillĂ©, du saignant et de la croĂ»te. Or le cerveau humain est ainsi fait qu'il apprĂ©cie davantage les contrastes que l'homogĂ©nĂ©itĂ©. De ce point de vue, la dĂ©coupe Ă  la française semble plus intelligente." Et Ă  ceux qui prĂ©fĂ©reraient le cĂ©lĂšbre gigot de sept heures, HervĂ© This adresse un dernier conseil - de chimiste "Pour qu'il y ait du goĂ»t, il faut que les protĂ©ines de la viande s'hydrolysent en acides aminĂ©s. Mieux vaut donc le cuire Ă  basse tempĂ©rature - entre 60 et 80°C au maximum." Combien de temps? "Une journĂ©e entiĂšre si vous avez le temps et l'envie! Essayez, vous verrez..." Vincent Olivier Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely DĂ©couvrezla sĂ©lection agneau de la Maison Thiriet. Vos surgelĂ©s en livraison Ă  domicile, ou retrait en magasin. Je me connecte Je crĂ©e mon compte. 0. 0,00€ Votre panier est vide pour le moment. Total de mes achats. 0,00€ Hors frais Ă©ventuels liĂ©s au service choisi. Ce produit a bien Ă©tĂ© supprimĂ©. Voir mon panier. Votre panier a bien Ă©tĂ© vidĂ©. Ces produits ont bien Ă©tĂ©
Eh non, dĂ©solĂ©, en Bretagne il n’y a pas qu’à l’ombre de l’Archange que l’on broute Ă  pleine gueule les prĂ©s salĂ©s ! Bon d’accord ceux de la baie du Mont Saint-Michel ont assurĂ©ment le meilleur point de vue, mais cĂŽtĂ© nourriture, le moutons du Pouldon se rĂ©galent abondamment. Et d’ailleurs le Pouldon, ou k’sĂ© don ? Cap sur le sud Ouest Breton dans cette anse du Pouldon nichĂ©e sur la riviĂšre de Pont L’AbbĂ©. Un bras de mer baignant cette Ăźle Chevalier Ă©mergĂ©e entre Loctudy et Pont-l’AbbĂ©. Bienvenu en pays Bigouden chez Pauline et Gilles Lescanne arrivĂ©s ici en 1981 et Ă©leveurs d’agneaux de prĂ©s salĂ©s depuis 1991. Les seuls en FinistĂšre. On les travaille comme les huĂźtres ! » Au dĂ©part on n’osait pas les mettre sur les herbus. On pensait qu’ils allaient s’enliser se faire choper par les marĂ©es
 Tu parles, rigole Gilles, l’instinct animal c’est infaillible ! » Les ovins se baladent sur une quinzaine d’hectares dans un environnement digne du Connemara. Avant il y avait des petits murets qui dĂ©limitaient les parcelles de chacun. » Il en reste encore quelques ruines. Sous nos pieds ou leurs onglons, puccinelle, salicorne, pourpier, des herbus bien iodĂ©s et
 salĂ©s. L’hiver, les filles ne sortent que deux heures et l’on complĂšte avec du foin de prĂ©s ou de luzerne. Les foins de Luzerne sont faits Ă  TrĂ©guennec donc ils ont bien pris le sel ce qui permet d’avoir une relative stabilitĂ© des goĂ»ts durant tout l’annĂ©e. MĂȘme si l’hiver les agneaux sont moins salĂ©s que l’étĂ©. » Les filles comme dit Gilles ne restent pas toute l’annĂ©e dans le Pouldon. Au dĂ©but du printemps, elles partent avec les agneaux d’un mois dans la baie d’Audierne, derriĂšre les dunes, et sur la pointe de TrĂ©vignon. Au bout de deux mois on sĂšvre les agneaux, quand ils ont 3 Ă  3 mois et demi, et on les ramĂšnent ici pour les affiner
 En fait on les travaille comme des huĂźtres ! » Les brebis rentrent pour agneler fin aoĂ»t dĂ©but septembre. Si tu les laisse agneler Ă  TrĂ©guennec il te reste la moitiĂ© des agneaux ! Les corneilles te bouffent les cordons ombilicaux, elles te sortent les intestins
 Elle fait pas de cadeaux la nature ! » On mesure alors toute l’importante du rĂŽle du berger dans le goĂ»t final de l’agneau qui prend trĂšs vite le goĂ»t de son alimentation. Tout est question d’équilibre. » CroisĂ©s Ile de France et Romanoffs, les agneaux du Pouldon sont commercialisĂ©s entre et 6 mois maximum pour garder une belle tendretĂ© Ă  la viande rosĂ©e et salĂ©e toute l’annĂ©e. Mais Ă  propos, oĂč le trouver cet agneau du Pouldon ? A la ferme et sur des boucheries de Quimper, Pluguffan, BĂ©nodet, Pont-L’AbbĂ©, Lesconil et Loctudy. Heureux Bigoudens ! Bonne nouvelle, Gilles sert Ă©galement deux restaurants, Le CafĂ© du Port Ă  l’üle Tudy et Les Trois Rochers Ă  La Villa Tri Men. Chef de cette maison, FrĂ©dĂ©ric Claquin ne tarit pas d’éloges sur ce produit d’exception qu’il accompagne d’une tempura de lĂ©gumes. Oui, oui, on a goĂ»té  Fabuleux ! Écrit par Olivier Marie Journaliste culinaire professionnel Ă©cumant les salles de restaurant et les cuisines de l'Ouest depuis plus de dix ans.
Soucieuxde vous proposer un choix de viande de qualitĂ©, nos bouchers vous conseillent et vous font dĂ©couvrir leur savoir-faire. DĂ©couvrez les produits traditionnels et les viandes plus exceptionnelles sĂ©lectionnĂ©es par nos artisans bouchers. Boucherie Daguerre, votre boucherie d’exception Ă  Paris 14e Vous proposer des produits exceptionnels et traditionnels, voilĂ  Guide gastronomie, vacances & week-end dans la MancheVisite virtuelleAjouter aux favorisSupprimer des favorisRĂ©putĂ© pour sa chair fine et sa saveur exceptionnelle, l'agneau de prĂ©s-salĂ©s du Mont-Saint-Michel doit sa spĂ©cificitĂ© aux herbus dans lesquels il Ă©volue. En effet, il est Ă©levĂ© dans des pĂąturages cĂŽtiers rĂ©guliĂšrement envahis par les marĂ©es, ce qui lui confĂšre ce dĂ©licieux goĂ»t race grĂ©vine, l'agneau de prĂ©s-salĂ©s du Mont-Saint-Michel bĂ©nĂ©ficie d'une AOP et d'une aire de production trĂšs limitĂ©e, et il n'est vendu que par des artisans-bouchers principalement Ă  PĂąques, l'agneau de prĂ©s-salĂ©s du Mont-Saint-Michel est Ă©levĂ© dans cette zone depuis le XIe siĂšcle environ. Chaque annĂ©e, il est fĂȘtĂ© au mois d'aoĂ»t au pont de GenĂȘts, lors de l'Ă©vĂ©nement PrĂ©s SalĂ©s en FĂȘte. C'est l'occasion pour les locaux, mais aussi pour les touristes, d'en apprendre un peu plus sur l'Ă©levage de l'agneau de prĂ©s-salĂ©s, avec une dĂ©monstration de chiens au travail et des mĂ©tiers de la laine. Une grande rĂŽtisserie Ă  la ficelle permet Ă©galement de dĂ©guster ce mets connaissez L'agneau de prĂ©s-salĂ©s du Mont-Saint-Michel ? Ajoutez des informations pratiques ou culturelles, des photos et des liens en cliquant sur ModifierSites touristiquesVilles & villagesBaladesActivitĂ©s de loisirsRestaurantsHĂŽtelsChambres d'hĂŽtesLocations de vacancesCampingsVoitures de locationAĂ©roportsBanu et des auteurs anonymes ont contribuĂ© aux informations prĂ©sentĂ©es sur cette page. Si vous connaissez L'agneau de prĂ©s-salĂ©s du Mont-Saint-Michel, vous pouvez vous aussi ajouter des informations pratiques ou culturelles, des photos et des liens en cliquant sur ModifierArticles connexesL'agneau de prĂ©s-salĂ©s du Mont-Saint-MichelDestinationUn hĂŽtelUne location de vacancesUne chambre d'hĂŽtesUn campingUne activitĂ© de loisirsUn restaurantUne voiture de locationUn billet d'avion lagneau de PrĂ©-salĂ©s “La viande d’agneau de prĂ©s salĂ©s est un produit agricole d’élevage ovin français. La particularitĂ© de cette viande est d’ĂȘtre obtenue par l’exploitation herbagĂšre de prĂ©s salĂ©s grĂące Ă  la conduite pastorale de troupeaux de moutons. La vĂ©gĂ©tation halophyte constituant ces pĂąturages transmet Ă  Roland Moitrel Ă©lĂšve des agneaux de prĂ©s-salĂ©s en baie de Somme. Son mĂ©tier, c’est sa passion. Et cette derniĂšre est viscĂ©rale ! Par Cynthia Lherondel PubliĂ© le 12 Mai 21 Ă  728 mis Ă  jour le 12 Mai 21 Ă  730 Roland Moitrel est Ă©leveur d’agneaux de PrĂ©-salĂ©s de la baie de Somme AOP depuis 36 ans. ©Le journal d’AbbevilleFils d’agriculteur, petit-fils et neveu de berger, Roland Moitrel a repris le flambeau. L’éleveur de moutons de prĂ©-salĂ©s est Ă©galement prĂ©sident de l’association de dĂ©fense de l’appellation Agneau des prĂ©s-salĂ©s de la baie de a commencĂ© les dĂ©marches d’inscription en AOP en 1997. La procĂ©dure a durĂ© dix ans. L’objectif Ă©tait de faire reconnaĂźtre la qualitĂ© de cet agneau et d’obtenir un meilleur prix de CĂąline et BouleDepuis 36 ans, le berger surveille quotidiennement ses 300 brebis et ceux d’autres Ă©leveurs dans des pĂąturages atypiques. Les prĂ©s-salĂ©s sont en effet les parties hautes de la baie couverte par la mer lors des grandes marĂ©es. Un paysage de toute beautĂ© qui n’est pas sans sont les moutons des prĂ©s-salĂ©s ?L’aire gĂ©ographique de l’appellation d’origine protĂ©gĂ©e PrĂ©s-salĂ©s de la baie de Somme » est centrĂ©e autour des marais salĂ©s de la baie de Somme et de la baie d’Authie dĂ©partements du Pas-de-Calais et de la Somme. Elle s’étend sur 226 moutons peuvent s’enliser ou tomber dans un trou et donc se noyer lorsque la marĂ©e monte. Mais Roland veille. Pour surveiller les bĂȘtes, il peut compter sur ses chiens. CĂąline et Boule sont ses fidĂšles compagnons. Sans chien, ce n’est pas possible », affirme l’ saveur unique !Les agneaux de prĂ©s-salĂ©s se distinguent des autres agneaux. GrĂące Ă  la flore maritime, le goĂ»t de leur viande est unique. La vĂ©gĂ©tation chargĂ©e de sel donne Ă  l’agneau de prĂ©-salĂ© un goĂ»t plus fin, une viande plus rouge, et une saveur mĂȘlant iode et flore ». Ils sont aujourd’hui onze Ă©leveurs Ă  dĂ©fendre l’agneau de prĂ©-salĂ© trouver les agneaux de prĂ©s-salĂ©s ?La commercialisation des agneaux de prĂ©s-salĂ©s de la baie de Somme a lieu de juin Ă  grossistes ou encore restaurateurs de la cĂŽte picarde et rĂ©gion parisienne plĂ©biscitent les agneaux de prĂ©-salĂ©s bĂȘtes en moyenne sont ainsi vendues chaque annĂ©e. Mais n’est pas agneau de PrĂ©-salĂ© qui en ce moment sur Actu Environ 3 600 brebis et 2 200 agneaux pĂąturent dans les prĂ©s-salĂ©s de mars Ă  dĂ©cembre en Baie de Somme ©Le Journal d’AbbevilleSept races pour l’agneau des prĂ©s-salĂ©s AOPLes agneaux sont issus de bĂ©liers nĂ©s de mĂšres Ă©levĂ©es sur marais salĂ©s des races Suffolk, Hampshire, Roussin, Ile-de-France, Rouge de l’Ouest, Boulonnais et VendĂ©en. Ils bĂ©nĂ©ficient d’une alimentation adaptĂ©e, issue des terres en bordure de la baie. Elle ne doit pas dĂ©passer 10m au-dessus du niveau de la mer ».Le saviez-vous ? L’agneau de prĂ©s-salĂ©s de la baie de Somme est commercialisĂ© de juin Ă  janvier car l’agneau doit pĂąturer en baie 75 jours minimum Ă  partir de mars. Pour ĂȘtre vendu, il doit avoir au moins 135 Moitrel l’affirme pour faire ce mĂ©tier, il faut aimer travailler dans la nature et les animaux ».Et ne pas compter ses heures. Les vacances ? On prend une journĂ©e de temps en temps. On se remplace entre bergers », rĂ©pond le vissĂ© aux lĂšvres, le regard vers sa baie adorĂ©e, il confie Ici, je suis en vacances tous les jours ».Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Journal d'Abbeville dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites. 0IlYAa.
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