4069 km en roller, - 3210 km en vélo, - 477 km en vélo éliptique (au chaud chez moi), - 84 km en course à pied (j'ai repris récemment). Ce qui me fait un total de 7840 km en 2009, pas beaucoup plus que les moyennes dévoilées jusqu'à maintenant, finalement. A noter : malgré ma 1ère année de solo, c'est en gros la même moyenne
Que ce soit en raison du contexte actuel, du changement de saison, d'une blessure, ou pour toute autre raison, il peut arriver que l’on arrête le vélo plus ou moins longtemps. Quand vient le moment de la reprise, ces quelques conseils peuvent vous aider à vous remettre en selle, sans danger. Comment reprendre ?Cela fait plusieurs semaines, plusieurs mois voire même plusieurs années que vous avez laissé le vélo au garage et aujourd'hui, l'heure est venue de vous y remettre. Bonne nouvelle ! Voici des conseils pour reprendre dans les meilleures selle !~ CONSULTEZ UN MÉDECIN AVANT DE REPRENDRE LE SPORT APRES UNE LONGUE COUPUREQuelle que soit la raison de votre coupure, il sera nécessaire de consulter un médecin avant toute reprise afin de réaliser un bilan. Passé 35 ans, un test d’effort basique chez un cardiologue sera même conseillé pour éviter tout risque. Dans tous les cas, seul un médecin pourra vous donner le feu vert pour reprendre le vélo sans risque. Il pourra aussi vous prodiguer quelques en cas de blessure. Que ce soit après une fracture bassin, fémur ou autre, le médecin devra donner son aval avant toute VOTRE VÉLOAprès votre check-up complet, vient aussi la révision de votre votre vélo soit resté quelques semaines ou quelques mois au garage, il est impératif de vérifier son état avant de mordre de l'usure de la chaîne, lubrifier la transmission ou vérifier l'état des pneus devraient être le minimum. Vous pouvez effectuer une révision par un professionnel afin d’être sûr d’avoir un vélo en parfait état de marche, ou vous-même en suivant ces conseils GARE AUX BRAQUETSLe vélo est un sport ingrat dès que l'on arrête pendant quelques temps. Il nous faut plusieurs semaines pour nous remettre au niveau et retrouver les sensations que l'on avait avant la coupure. On perd aussi en muscles et donc en puissance dans les jambes. ~Pas de panique, tout cela est normal et revient avec un peu d'entraînement et quelques ajustements sur votre vélo. Pour éviter d'avoir trop de difficultés à la première bosse, vous pouvez remplacer votre plateau par un couple 50x36 par exemple. Ou mieux, changer votre pédalier pour si possible faire l’acquisition d’un modèle compact qui vous permettra d’utiliser des plateaux plus mesurés de 36 voire 34 ces notions vous sont étrangères, n'hésitez pas à faire appel à un conseiller cycle dans votre magasin Decathlon ou à l'atelier de votre magasin. UN PREMIER MOIS DIFFICILEIl va donc falloir être à l’écoute de votre corps, de vos sensations et faire table rase de tout ce que vous aviez dans vos souvenirs. Le premier mois sera sans doute le plus pénible. Ce sera la période où votre corps devra se réhabituer à l’effort, et se remuscler. Ne vous découragez pas, vous retrouverez votre forme avec un peu d'entraînement et de patience. ~Vous pouvez compléter votre entraînement vélo par des séances de renforcement musculaire. Sur l'application Decathlon Coach, des exercices gratuits et encadrés par des coachs peuvent vous accompagner pour travailler la partie du corps que vous souhaitez. Un petit conseil qui fonctionne également attention à ce que vous mangez. Pour une bonne reprise et de bonnes sensations sur le vélo, veillez à avoir une alimentation saine et équilibrée. C'est votre carburant pour avoir de l'énergie et bien récupérer. FIXEZ-VOUS DES OBJECTIFSUn bon moyen pour conserver la motivation à s’entraîner est de se fixer des objectifs. Mais attention au choix de ces objectifs. Ne partez pas sur des cyclos type Etape du Tour ou autres cyclos montagnardes au bout de 3 objectifs devront être raisonnables. Franchir le cap d’une sortie de 100 kilomètres, ou arriver à tenir 70 kilomètres avec les copains à 26km/h de moyenne. A vous de trouver un objectif à la fois ambitieux, mais aussi pouvez aussi vous écrire un programme d'entraînement pour garder la motivation. A vous de varier entre les séances de foncier, d'intensité ou de renforcement musculaire. Attention à ne pas vouloir en faire trop, trop vite. Pensez aux séances de récupération, qui vous feront progresser plus vite que vous ne le pensez ! SEUL•E OU A PLUSIEURS ?Pour votre reprise, il est important de rouler à votre rythme.~Si vous êtes seul•e, vous serez à même de vous écouter et d'adapter votre intensité. Mais rouler à plusieurs peut vous motiver quand cela devient difficile, ou cela permet de vous abriter quand il y a un peu de vent. Dans ce dernier cas, choisissez des amis ou un groupe qui roule à votre niveau, ou qui sait ralentir si besoin. Un autre avantage de rouler à plusieurs ou dans un club, c'est d'avoir des rendez-vous réguliers et de varier les parcours. Certains membres peuvent aussi vous donner de précieux conseils pour progresser. Une motivation de plus !~
Posté07 août 2009 à 14h49. SALut, bienvenue, et bravo pour te démarche. 40 km par jour, c'est faisable! Tu as deux ecoles : - le VAE : ce n'est pas un vélo de paresseux, car on pédale tout de même. L'asssitance te permettra à coup sur de moins forcer, moins transpirer et te passer de douche à l'arrivée.
Même si le vélo à assistance électrique est en train de se faire une place de choix en France, certains rejettent encore ce mode de déplacement sous prétexte que "le vélo électrique, c'est pour les fainéants !". Mais qu'en est-il vraiment ? Accessibles à tous, designs, économiques et écologiques… Depuis quelques années, les vélos à assistance électrique ont la cote ! Mais se servir d’un vélo électrique au quotidien, est-ce faire de l’exercice ? Vélo à assistance électrique les secrets de son succès. Si le vélo électrique rencontre un tel succès, c’est qu’il présente à lui seul plusieurs avantages. Économique » et écologique » sont les deux avantages les plus souvent cités lorsque l’on parle du vélo électrique. Mais ce n’est pas tout ! La pratique du vélo à assistance électrique est également bonne pour la santé ! Grâce à lui, les sportifs très occasionnels mais aussi les personnes à mobilité réduite peuvent rrenouer avec une activité physique tout en douceur. Adieu les kilos superflus pour les vacances d'été ! Comme tous les ans, vous faites tout pour tenter de perdre vos poignées d’amour avant les vacances d’été ? Mais malgré tous vos efforts, les résultats ne sont pas à la hauteur de vos attentes ? Alors essayez le vélo électrique pour vos déplacements quotidiens ! En effet, au vu de nos modes de vie de plus et plus sédentaires, la moindre occasion de pratiquer un peu d’exercice physique est bonne à prendre… Qu’on se le dise, le vélo électrique n’est pas une mobylette électrique ! Contrairement aux idées reçues, vous n’êtes pas passif mais actif sur un vélo à assistance électrique. Pour que l’assistance électrique se mette en route, vous êtes obligé de pédaler. Et si vous arrête de le faire, elle se coupe automatiquement. Vous l’aurez compris, l’assistance électrique est une aide au pédalage ; en forme, vous pédalez, sinon, vous activez l’assistance électrique qui vous donnera un coup de pouce dans les côtes ou contre les vents et marées mais toujours en pédalant. De manière générale, lorsque vous pédalez, les muscles de vos membres inférieurs ne sont pas les seuls à être sollicités. Tous les muscles de votre corps travaillent ; tous seront alors re-tonifiés ! Rouler avec un VAE équivaut à peu près à une marche à allure modérée en montée. Pour se faire une idée, on brûle entre 500 et 1000 calories lors d’une promenade d’une heure sans moteur. Alors, si on peut, on essaie de pédaler sans assistance au moins 20 à 30 minutes par jour ! Associé à une alimentation équilibrée et de la marche rapide, le vélo électrique sera votre meilleur allié pour mettre de côté vos kilos superflus… De plus, en utilisant votre vélo électrique quotidiennement, vous améliorerez votre capacité cardiaque et pulmonaire. Vous le constaterez très rapidement au quotidien. Vous serez, par exemple, moins essoufflé lorsque vous monterez des marches. Notez enfin que l’activité physique régulière permet d’évacuer les tensions et le stress ! Profitez donc de vos trajets à vélo pour respirer le grand air et faire le vide… Un de nos clients témoigne... François, l’un de nos clients et ambassadeurs, a repris le sport grâce à son vélo Docker. En un an et demi, il a perdu plus de 83 kilos en associant le vélo à la marche, à la natation et à une bonne alimentation. Voici son témoignage À 40 ans pile, il m’est revenu l’envie de me remettre au sport. Avec mon important surpoids, le vélo électrique m’a paru le plus raisonnable physiquement au niveau de mes genoux et la position assise de l’exercice. Ma problématique étant de trouver un vélo capable de supporter plus de 130 kilos. Mes amis connaissant ma motivation m’ont offert pour mes 40 ans un Docker avec assistance. Outre le look d’enfer qui lui donne un caractère plutôt original et que l’on ne peut pas rater, j’ai été séduit par sa solidité et le confort de sa selle, après 25 ans sans faire de vélo. J’ai été bien guidé au moment de ma commande sur les configurations et le choix du modèle, hésitant entre le Docker et le Sherpa, j’ai préféré le Docker pour son enjambement facile, après 10 mails de questions à Amsterdam Air sur le choix du moteur, des poignées et des possibilités connexion avec un demi-tandem j’ai enfin passé commande ! 20 jours après la livraison de mon vélo, je me suis mis à rouler au moins deux fois par semaine toujours avec assistance au départ. Puis j’ai décidé de me rendre au travail avec mon Docker à 17 km de mon domicile, j’ai d’ailleurs la chance d’être à 80 % du temps sur un joli chemin de halage. Plus je roulais, plus je réduisais l’utilisation de ma batterie, au début du trajet en mode super éco puis sans allumer l’assistance ; passant de 80 à 200 km d’autonomie pour la batterie. L’intérêt du vélo électrique, à mon sens, est de pouvoir doser son effort, on pédale en permanence mais quand la fatigue arrive on augmente l’assistance pour continuer son trajet. Après 1 an, j’ai parcouru plus de 2600 km en zone urbaine, fais mes courses, transporté mes enfants, parti travaillé avec. La reprise de mon activité physique m’a permis de perdre 80 kilos en un peu plus d’une année et demi. J’ai accompagné mes pédalages quotidiens de marche et natation. Oui, le vélo à assistance électrique fait faire de l’exercice et perdre du poids ! Le vélo Docker de François J., ambassadeur Amsterdam Air
Levélo d’appartement de chez TecTake est le concurrent direct du F-Bike de chez Ultrasport, les fonctionnalités sont presque identiques. En effet, ce vélo dispose de 8 résistances comme le F-bike et des mêmes capteurs. On retrouve : la vitesse, la distance, les calories brûlées, le chronomètre et le pouls grâce aux capteurs intégrés sur le guidon.
Lors de l’achat d’une voiture neuve, le revendeur peut renseigner la durée de vie estimative des pneus, c’est-à -dire combien de kilomètres les pneus peuvent parcourir. Mais en réalité, cette durabilité dépend des conditions d’utilisation et d’autres paramètres à savoir la météo, la géographie, les charges portées et bien d’autres encore. La durée de vie moyenne des pneus en kilomètres Il faut savoir que les pneus sont répartis en différentes catégories déterminant leur qualité et donc leur durée de vie. Par conséquent, les pneus de qualité Premium bénéficient d’une longévité plus importante et les pneus d’occasion ou budget doivent être remplacés plus fréquemment. En tenant compte de tous les facteurs, la durée de vie d’un pneu en kilomètres est comprise entre et kilomètres, la moyenne avoisinant les kilomètres. Quels sont les facteurs d’usure d’un pneu ? La vitesse d’usure des pneus dépend des facteurs extérieurs mais aussi des conditions d’utilisation. Ces facteurs sont généralement – La manière de conduire la voiture il s’agit d’un facteur primordial. En effet, la conduite influe considérablement sur la durabilité des pneus. Ainsi, un pilotage nerveux ou brutal favorise l’usure rapide tandis qu’une conduite coulée prolonge la vie des pneus. – Le type de route la géographie tient un rôle important dans la fréquence de remplacement des pneus. Les routes sinueuses et accidentées des régions montagneuses abîment rapidement les gommes. Les endroits à fortes déclivités et qui enchainent les lacets sollicitent fortement les roues et consomment beaucoup plus la gomme que les routes rectilignes. – Les conditions météorologiques la variation des saisons n’est pas sans conséquence sur l’état des pneus. En hiver, il faut privilégier les pneus conçus pour supporter les basses températures. De même, l’exposition prolongée aux fortes chaleurs détériore rapidement la gomme. C’est pour cette raison qu’il est conseillé de remplacer les pneus tous les 5 ans pour les voitures laissées en extérieur même si elles ne roulent pas souvent. Comment prolonger la longévité des pneus ? Les pneus en eux-mêmes se détériorent rapidement à cause de divers facteurs extérieurs, mais les autres éléments de la roue qui sont en mauvais état peuvent aussi nuire. Par exemple, les valves qui ont pour rôle de maintenir la pression à l’intérieur du pneu risquent d’en réduire la durée de vie si elles sont abîmées et non remplacées à temps. Il est possible d’acquérir les différentes pièces concernant les pneumatiques chez un concessionnaire. Pour augmenter encore plus la durée de vie des pneus, il faut régulièrement vérifier l’équilibrage des roues pour bien répartir la charge et limiter les séquelles liées aux frottements au niveau des points de friction. Ces derniers ont un impact direct sur l’état des pneus, surtout pour les longs trajets. Lire aussi Résoudre le parallélisme de sa voiture en 5 étapes Quelle quantité d’alcool pour conduire ? Combien de temps faut-il pour changer un embrayage ?
Sivous partez pour la première fois en voyage à vélo, commencez par des étapes courtes. Des étapes de 30 à 40 km/jour sont suffisantes et vous permettent de prendre le temps pour découvrir les richesses des paysages, le
CALCULER SA PUISSANCE Ce calculateur a pour objet de déterminer la puissance que vous fournissez sur votre vélo sans disposer d'instruments sophistiqués autre qu'un simple compteur de vitesse. Une estimation du dénivelé est cependant souhaitable. Rappel de notions Rappelons d'abord quelques notions de base. Pour rouler- à l'exception évidemment des descentes- un cycliste doit exercer des efforts sur les pédales. Durant une randonnée, ces efforts se traduisent par un travail mécanique fourni au pédalier qui s’exprime en joules. Quant à la puissance, elle se définit comme étant le travail fourni par unité de temps. Elle s'exprime en joules par seconde, c'est-à -dire en watt. La puissance varie généralement un peu tout au long d'une randonnée en fonction de l'effort que le cycliste exerce sur les pédales mais on peut aussi parler de puissance moyenne qui se définit comme étant le travail fourni durant la randonnée divisé par la durée de la randonnée. Cette puissance dépend de plusieurs paramètres que l’on peut grouper en deux catégories Les paramètres personnels du cycliste qui comprennent Le poids du cycliste en kg Le poids du vélo en kg Le coefficient de pénétration dans l’air. Ce coefficient dépend de la morphologie du cycliste et de sa position sur le vélo, de son habillement, du profilé de son vélo. On rassemblera tous ces facteurs dans un coefficient Cx. Pour plus de détails, on pourra se reporter au document Le vélo en équation » qui tente d'expliquer le plus simplement possible la relation entre les paramètres qui régissent l'avancement d'un vélo. Par ailleurs, des tests pratiques permettant de déterminer ce coefficient Cx sont proposés également sur notre site, mais, il faut bien le dire, les conditions de ces tests nécessaires pour obtenir des résultats très fiables sont difficiles à réunir. Ce coefficient est de l’ordre de 0,20, valeur que l’on retiendra faute de faire un test. A noter, ne pas confondre ce coefficient Cx avec le coefficient appelé "coefficient de trainée". Les frottements mécaniques internes au vélo relatifs au système de transmission des efforts entre les pédales et la roue arrière chaîne, dérailleur, moyeux. Dans le calcul proposé, nous négligerons ces frottements. Les paramètres de la route qui comprennent La pente de la route exprimée en % Le coefficient de frottement de la chaussée qui s’exprime en équivalent pente et donc en %. Ce coefficient est compris entre 0,5 et 1,5 pour des chaussées normales. On prend souvent 1%. Le vent éventuel, favorable ou défavorable. Dans le calcul proposé, il est possible d'en tenir compte en indiquant la vitesse du vent de face ou du vent arrière. Cependant, il faut bien voir que cela reste très théorique car dans la réalité, même si le vent est constant en force et en direction, l'orientation du cycliste par rapport au vent changera constamment au gré des sinuosités de la route et notamment dans le cas d'un parcours en boucle. C'est pourquoi, le calcul de la puissance ne sera rigoureux que dans le cas où le vent est très faible. Principe de cette application> Pour la présente application, les données à fournir au calcul concernent celles d'une randonnée effectuée en boucle ou bien avec une altitude du point d'arrivée identique à celle du départ. Ces données sont essentiellement le kilométrage, la vitesse moyenne et si possible le dénivelé positif. Le parcours peut être accidenté, voire montagneux mais plus il sera montagneux, plus il faudra avoir une bonne estimation du dénivelé, sinon le résultat s'écartera de la réalité. Il est toujours possible de connaître ce dénivelé par un calculateur d'itinéraire tel que Openrunner, Brouter, Strava et bien d'autres. L'hypothèse la plus importante adoptée dans cette application est de décomposer le parcours en deux sections de longueur égale une section en montée où l'altitude atteinte correspond au dénivelé et une section en descente avec une valeur de pente égale à la pente de montée mais de sens négatif. Cette approximation est tout à fait acceptable comme le montre notre document "Calcul approché de la puissance" qui fournit les explications théoriques de notre application, justifie les hypothèses adoptées et montre que la valeur calculée par notre méthode approchée est très voisine de la puissance réelle. Si vous désirez un calcul très rigoureux de la puissance fournie durant votre parcours, il faut alors enregistrer ce parcours à l'aide d'un GPS ou d'un Smartphone qui vous fourniront la "trace GPX" du parcours. L'application "Calculer votre puissance à partir de la trace GPX" que vous trouverez sur ce site vous donnera une valeur en théorie fort précise, mais nous attirons cependant votre attention sur le manque de précision des altitudes fournies par ces instruments tout au long de l'enregistrement. Les résultats fournis Les résultats fournis par la présente application sont la valeur de la puissance moyenne, celle du travail fourni par le cycliste ainsi que sa dépense énergétique. Le travail fourni est exprimé en kilo-Joules et également en watt-heure, ce qui peut être utile pour les adeptes du VAE souhaitant estimer l'autonomie de la batterie. Quant à la dépense énergétique du corps humain, pour être très concret, on l'a exprimée en nombre de barres de céréales standard 380 Kjoules par barre, en faisant l'hypothèse d'un rendement du corps humain de 25%. Calculateur Ne remplissez pas les cases jaunes, elles contiennent le résultat des calculs. Après avoir rempli les cases vertes, cliquez sur "Calculer" pour effectuer le calcul.
Personnellementj’ai fait les trajets domicile-travail à vélo cet été (au lieu du bus), et sans même vouloir porter des costards Armaniavec
C’est une vraie question à laquelle tous les marcheurs, débutants ou experts, ont déjà été confrontés. Combien de bornes vais-je pouvoir faire aujourd’hui ?… » Parfois, on se pose la question car on souhaite être rentré avant la nuit. Parfois, on se la pose afin de pouvoir calculer un itinéraire sur plusieurs jours ou semaines. Ou par curiosité. Ou challenge. Peu importe la raison finalement… ce que vous attendez de moi, c’est une réponse ! Et bien… disons qu’une moyenne de 15-30 kilomètres, avec une fourchette de 10 à 45km n’est pas déconnant. Ça fait une sacrée fourchette », allez-vous me dire. Oui ! En effet… Selon que vous randonnez à la journée, en plein été, au bord d’un canal, avec juste une bouteille d’eau à la main… ou que vous randonnez plusieurs jours en hiver, en montagne, et en autonomie ça ne va pas donner le même résultat ! Le nombre de kilomètres que vous allez être capable de faire en une journée dépend donc de nombreux paramètres et astuces dont je vais à présent parler Votre état d’espritVotre forme physique et votre moralL’environnementVotre sac à dosLa durée de votre randonnéeLe nombre d’heures de marche par jour … et en toute fin d’article, je vous donne quelques retours d’expérience et du très concrets sur des randonnées que j’ai pu réaliser. Au final, combien de km par jour peut-on marcher en moyenne ?Comment augmenter le nombre de km / jour ?Quelques exemples de randonnées et de distances parcourues Paramètre N°1 Quel est votre état d’esprit ? Nous n’abordons pas tous la marche à pied de la même manière. L’envie de se dépasser !… Pour certains d’entre nous, l’objectif est de se dépasser, de relever un challenge personnel ou non, de voir jusqu’où le corps peut suivre le mental, d’avaler le plus de kilomètres possibles en une seule journée. Je pense à l’aventurier Mike Horn qui a traversé l’Antarctique en autonomie, à pied et en ski de fond 5100 kilomètres en 57 jours, soit une moyenne de près de 90km par jour !… Une seule volonté se dépasser et réaliser un exploit physique, qui relève quasiment de l’impossible. Dans un autre style, je pense également au baladin poète » qu’est Sylvain Tesson, qui avale des 60km en une journée, dans des conditions météorologiques difficiles. L’état d’esprit est très loin de celui de Mike Horn, mais le résultat est le même marcher, quoi qu’il en coûte, sans s’arrêter, jusqu’à atteindre l’objectif fixé. … ou simplement l’envie de profiter ? Pour la majorité d’entre nous, on va plus raisonnablement se fixer l’objectif de profiter de la marche à pied, de voir des paysages, de faire du sport, d’être entre amis, de se dégourdir dans la verte, voire de concilier randonnée et pêche à pied, ou encore randonnée et cueillette sauvage… Et cette philosophie à la cool, c’est également très bien ! 😉 Comme disait Philippe Pollet-Villard Dans un voyage ce n’est pas la destination qui compte mais toujours le chemin parcouru, et les détours surtout. » Paramètre N°2 Votre condition physique et psychologique ! La randonnée, c’est un sport. Et comme pour tous les sports, votre condition physique du moment sera déterminante. A titre personnel, si j’attaque une randonnée fatigué et pas ou peu entraîné, je suis certain de commencer à souffrir après les 20 premiers kilomètres. A l’inverse, quand j’ai passé une bonne nuit et que je suis physiquement ciselé, je ne vais commencer à ressentir les premières fatigues qu’autour des 30km. On a déjà un peu évoqué le sujet de la psychologie, mais je souhaite revenir dessus avec un exemple concret. J’étais parti avec des amis pour une randonnée de 3 jours dans un environnement vallonné et boisé. Il faisait beau, j’étais en forme, physiquement et psychologiquement… et c’est d’ailleurs peut-être ça qui m’a trahi. En effet, on est partis pleine bourre dès le premier jour et avons allègrement dépassés les 37km de marche. Le soir, la fatigue était évidemment présente et après un dîner autour d’un feu de camp, on est rapidement allés sous le tarp pour passer la nuit. Sauf que le lieu du bivouac n’était finalement pas idéal on l’avait choisi trop vite, avec l’envie pressante d’enfin se poser. Battu par le vent, le tarp mal tendu toujours à cause de la précipitation de l’installation a claqué une grande partie de la nuit… En bref, nous nous sommes réveillés épuisés sous une météo pluvieuse, le moral en berne. Et la randonnée n’aura finalement duré que 2 jours sur les 3 prévus… La morale de cette histoire ? Soignez votre condition physique et votre moral, particulièrement sur les randonnées de plusieurs jours. Paramètre N°3 L’environnement dans lequel on fait sa randonnée Ça peut paraître évident, mais je lis et entends encore trop souvent des comparaisons de nombre de kilomètres parcourus en une journée, sans prendre en compte l’environnement. J’entends par là le dénivelé, la météo, la saison ou encore le type de terrain. L’impact du dénivelé sur le nombre de km / jour Déjà , qu’est-ce que le dénivelé ? Tout simple il s’agit de la différence d’altitude entre deux points donnés. Par exemple, si vous souhaitez gravir à pied le Mont Blanc par la voie du Goûter, vous aurez 17km à marcher. C’est peu. Mais ça sera également 2550 m de dénivelés. Ça commence à faire. En montagne et sur de nombreux circuits de randonnée, on parle donc de dénivelés plutôt de kilomètres parcourus également de kilomètres-effort . Et même hors montagne, c’est un point à prendre en compte. Je me rappelle d’une randonnée de trois jours en Suisse Normande, qui tire son nom de ses paysages très vallonnés malgré des sommets » qui ne faisaient que 300m, je peux vous assurer que le dénivelé était bien présent ! Or, lorsque j’avais préparé cette randonnée, j’avais tablé sur un 25-26 bornes par jour. J’ai tenu le rythme, mais mes mollets s’en souviennent encore. L’idéal, au vu du dénivelé, aurait été de tabler sur du 20-22 kilomètres par jour. Note contrairement à ce qu’on peut intuitivement imaginer, une forte descente est quasiment aussi difficile à randonner qu’une forte côte. Le top ? La petite descente… celle qui nous pousse en avant. 😅 L’impact du terrain On vient de l’évoquer avec notre histoire de dénivelés, mais ça n’est pas que ça le terrain / la topologie ! Si vous décidez de randonner sur un GR chemin de grande randonnée ou si vous préférez partir à travers champs et bois… votre rythme de marche en sera directement affecté. Je vous assure que lorsque vous devez vous frayer un chemin à coup de bâton dans une ronceraie, ou que vous décidez de traverser à pied une petite rivière ou une anse à marée basse, vous n’allez pas tenir vos 3-5km/h ! Et encore une fois ça n’est pas grave. Car promis, ça vaut le coup et vous aurez de chouettes souvenirs… Ok… là , on abuse un peu. Mais vous avez l’idée, non ? 😜 L’impact de la saison et de la météo On dit souvent que la rando est un sport des beaux jours. Oui… mais non. J’ai de superbes souvenirs de randonnées sous la flotte et en hiver. Par contre, cela impose évidemment de s’équiper différemment généralement plus lourdement », de prévoir plus de temps pour l’installation du bivouac, de se caler avec les horaires raccourcis du jour / soleil si on veut installer le bivouac avant la nuit, etc, etc. Le froid puise également plus dans vos réserves d’énergie et donc pèse indirectement plus sur votre moral. En général, je prévois donc de faire moins de kilomètres sous la pluie ou dans le froid, qu’en plein été ou à la belle saison. Note de la même manière, faire des randos quand il fait très trop chaud et / ou moite peut rapidement vous épuiser… Bivouac ou refuge / gîte pour la nuit ? Vous allez me dire que ça n’a pas de lien direct avec l’environnement ou le terrain… Si vous dormez en refuge ou en gîte, j’avoue. Mais si vous dormez en bivouac oh que oui, c’est directement lié à votre environnement ! Toute personne qui a dormi à la belle étoile a déjà passé des nuits épouvantables, où tu te réveilles à 4-5h du mat’, transi par le froid… et où tu finis par te rendormir quand les premiers rayons du soleil réchauffent un peu l’air. Une nuit. Deux nuits. Trois nuits. A la quatrième journée de randonnée-bivouac, je vous promets que votre rythme de marche sera affecté. Maintenant, je vous rassure les meilleurs souvenirs sont également généralement liés aux bivouacs et on peut passer de superbes nuits même si on ne dort pas toujours du meilleur sommeil. Cela me fait penser à cette fois où je dormais en hamac dans une forêt mythique », lors d’une nuit très très ventée le bruit des rafales dans les branches et le sentiment d’être bercé par d’anciens dieux paganistes. Le pied total. Paramètre N°4 Le sac à dos !… Votre plus proche ami lors d’une randonnée ? Votre sac à dos bien entendu ! Mais faites gaffe à ce qu’il ne devienne pas également votre pire ennemi… 😉 J’ai croisé énormément de nouveaux randonneurs qui, poussés par la peur de manquer », chargeaient leur sac avec assez d’équipements pour faire le tour du monde en famille ! Alors qu’ils étaient seuls et qu’ils partaient pour une semaine. Du coup, ils se trimballaient de grands sacs à dos de 80 litres qui faisaient de 15 à 25 kilos. Je peux vous assurer qu’à partir de quelques heures de marche, chaque kilomètre comptait double ou triple… et que ça avait un impact direct sur leur rythme de marche, et donc sur le nombre de kilomètres qu’ils pouvaient faire en une journée. Il est donc indispensable de ne prendre avec vous que le strict minimum. Pour cela, je vous conseille de limiter la taille de votre sac à dos moins vous avez de place et plus vous serez obligé de sélectionner, de peser toutes vos affaires et plus largement de vous intéresser à la marche ultra-légère » MUL. Pour vous donner une idée, avec un sac à dos de 12-16 kilos, on estime le rythme de marche autour de hors pauses. Sans sac ou avec un p’tit sac de moins de 3 kilos, pour la rando à la journée, on pourra plutôt tabler sur du Paramètre N°5 La durée de la randonnée Vous noterez que ce paramètre, à savoir combien de temps va durer votre marche à pied, a un impact direct sur la taille et le contenu de votre sac à dos paramètre N°4… mais également sur votre environnement paramètre N°3 ; plus une marche dure, et plus vous avez de chance que la météo change ou encore sur votre condition physique et psychologique paramètre N°2. Autrement dit, chaque paramètre que j’évoque dans cet article ne sont pas distincts mais sont intimement liés les uns aux autres. Bref !… La durée de la randonnée est un paramètre qui va avoir un énorme impact sur le nombre de kilomètres que vous allez être capable de marcher en une journée. Si vous partez en randonnée à la journée, vous savez que le soir vous attendent une douche chaude et un bon lit douillet… vous n’aurez aucun souci pour forcer le pas, d’autant que vous n’aurez pas de sac à dos. Dans ces conditions, je peux atteindre personnellement un 40km. Si vous partez en randonnée sur 3-4 jours, avec tout votre bardas de bivouac dans le sac, votre nourriture pour être en autonomie… alors, on quitte la logique de sprint pour être dans une logique de marathon. Dans ces conditions, j’essaie de ne pas dépasser les 20-28km / jour en fonction du terrain. Paramètre N°6 Combien d’heure de marche par jour ? Assez logiquement, lorsqu’on parle de nombre de kilomètres que l’on peut parcourir en une journée, il y a deux variables La vitesse à laquelle vous marchez qui dépend, encore une fois, de l’environnement, de votre état d’esprit, du poids de votre sac à dos, de votre condition physique, etc.La durée durant laquelle vous allez marcher Et oui !.. Une personne qui marchera à 5km/h durant 5 heures fera finalement moins de kilomètres qu’une autre qui fera du 3km/h durant 10 heures. Or, il n’y a pas de règle en la matière. Je connais des randonneurs qui aiment marcher le matin et, l’après-midi, visiter des lieux ou glander, pêcher, bushcrafter, etc.. Cette manière de faire permet évidemment de forcer le pas… mais limitera quoi qu’il en soit le nombre de bornes que vous pourrez faire en une journée. A l’inverse, d’autres aiment faire des journées de 8-10 heures de marche, à plus faible allure. Un petit tableau pour vous donner une idée… VitesseHeures de marcheKm / jour2 km/h 483 km/h4124 km/h 4165 km/h4202 km/h 6123 km/h6184 km/h 6245 km/h6302 km/h 8163 km/h8244 km/h 8325 km/h8402 km/h 10203 km/h10304 km/h 10405 km/h1050 Bon… au final Combien de kilomètres par jour peut-on faire en marche à pied ? On a pu le voir dans cet article, la bonne réponse dépend de très nombreux paramètres. Pour autant, je vais vous livrer ici une formule personnelle qui permet de se donner une idée générale, qui est inspirée de la règle de Naismith un alpiniste renommé et du kilomètre-effort » Comptez 1 heure pour chaque 4,5 km, à laquelle vous ajoutez 1 heure pour chaque 900m de dénivelés positifs et négatifs. Par exemple, si vous souhaitez faire une randonnée de 25km sur des sentiers qui totalisent 450m de dénivelés, cela nous donne 25/ + 450/900 = 5h30. Ajoutez à cela les pauses dont le déjeuner et on arrive généralement sur une journée classique » de 7h. Comment augmenter son nombre de kilomètres / jour en randonnée ? Encore une fois, selon moi, faire plus de kilomètres par jour ne doit pas nécessairement être un objectif en soi. Je suis plutôt de l’école de la randonnée plaisir et mes meilleures » randonnées ne sont pas celles où j’ai parcouru le plus de bornes. Pour autant, vous pouvez peut-être être tentés pour améliorer vos performances. Voici donc 8 astuces pour y parvenir Préparez-vous physiquement comme pour tous les sports, la récurrence est la clé de la réussite. Donc marchez, marchez, marchez… au quotidien et en sortie léger Limitez le poids de votre sac à de bonnes chaussures Une ampoule et c’est le début de la galère…Prenez soin de vous bain de pied dans de l’eau froide, massage de la voûte plantaire, rechanges de chaussettes propres et sèches… sur des randonnées de plusieurs jours, c’est votre cadence Ne partez pas pleine balle pour être séché au bout de 10 kilomètres. Rien ne sert de courir partez à point !Réglez correctement votre sac à dos une erreur fréquente est de ne pas correctement remplir son sac à dos et de mal le porter. Ça fait vite des des pauses et rechargez les batteries Profitez des breaks pour manger un bout et boire de l’eau. Sac vide ne tient pas debout » me disait mon père !Utilisez des bâtons de trekking ou un bout de bois ! Je ne suis pas fan personnellement, mais je connais pas mal de randonneurs qui ne pourraient pas s’en passer. Ils aident particulièrement dans les côtes et les descentes. Quelques exemples concrets… GR34 decrescendo ! Ma première randonnée sur plusieurs jours a été faite sur le GR34 Bretagne. J’étais avec trois amis. Nous dormions à la belle étoile, sous tarp. Nous étions en autonomie. Bonne condition physique, mais aucune expérience. Contrairement à ce qu’on peut imaginer, c’est un sentier qui propose de réelles difficultés » du dénivelé, de la marche dans le sable mou et les dunes, et une exposition aux vents et au soleil non-stop. Le premier jour, nous avons marché 28 kilomètres probablement du 30-35 en correspondance kilomètre effort ». Le second, 24 kilomètres. Le troisième et dernier jour, 19 kilomètres. On remarque que les distances s’amoindrissent chaque jour on est partis un peu trop fort et un de mes amis, qui étrennait de nouvelles chaussures, a eu de belles ampoules qui le ralentissait très fortement. Mais quels souvenirs !… Magique. Bref, sur ces trois jours, on a eu une moyenne de km par jour. Un peu moins de Canal de Nantes à Brest L’expérience. Beaucoup plus récemment, on a décidé de se faire une micro-aventure d’un week-end, avec un pote. On s’est rejoint du côté de Blain et avons fait cap vers Redon, en suivant le canal. Environ 44 km. Qui dit canal dit qu’il y a zéro dénivelé. Comme souvent, en autonomie et bivouac à la belle étoile. Nous sommes partis le vendredi soir, avons marché le samedi et sommes arrivés le dimanche fin de matinée. Nous avons donc marché très tranquillement 10-12 heures, soit une moyenne de 4km/h pauses comprises. En conclusion ? La randonnée, c’est avant tout du plaisir. Peu importe les miles parcours vive l’expérience de l’outdoor ! 😜
Combiende temps faut-il pour faire le Tour du Lac Léman à vélo ? Cette question revient souvent et la réponse n’est pas si facile. Les plus rapides du Cyclotour mettent environ 4h15 en roulant en groupe et en bénéficiant des conditions de trafic optimale dues au départ très matinal de l’épreuve.
Il y a une année, quand je m’inscrivait pour le demi Ironman de Rapperswil, je n’avais vraiment aucune idée de la manière dont il fallait aborder la préparation à un tel triathlon. Après avoir terminé le marathon de Lausanne fin octobre, je me suis accordé une pause de deux semaines environ, avant de reprendre progressivement un entraînement régulier. Les mois de décembre et janvier ont été presque exclusivement consacrés à de l’endurance de base dans les trois disciplines, à savoir des entraînements à allure relativement lente, effectués à une fréquence cardiaque située entre 65 et 75% de ma FCM fréquence cardiaque maximum. Si à cette période de l’année la course à pied et la natation ne posent pas trop de problèmes, le vélo a été principalement entraîné sur le rouleau. Dès le mois de février, j’ai intégré des séances 30/30 » de course à pied, à savoir des séances plus courtes mais avec des accélérations 30 secondes à fond, 30 secondes de récupération, afin de travailler ma vitesse maximale et ma VO2max. C’est au mois de mars que j’ai commencé a augmenter le nombre de kilomètres en vélo, profitant de la météo plus que clémente de ce début 2011. Début avril, premier test en course à pied avec les traîne savates. La suite de ma préparation jusqu’à la course de Rapperswil est planifié dans ce document cliquez ici pour télécharger la version PDF Ce document n’est pas vraiment un plan d’entraînement à suivre à la lettre, mais plutôt une base de travail. Il s’agit des séances effectives et non des séances planifiées. Les séances de course à pied sont structurées endurance, au seuil ou 30/30 mais les séances vélo et natation sont laissées à la libre apprécaition du moment, et donc planifiées un peu selon l’envie, seule la durée est fixée. J’ai également profité des jours fériés ainsi que de quelques mercredis de congé pour y prévoir de longues séances. La natation Au niveau natation, ma seule préoccupation a été d’accumuler des kilomètres. Il me semblait inutile d’investir trop d’énérgie à vouloir à tout prix gagner des secondes en natation alors que je pouvais gagner plusieurs minutes en vélo ou en course à pied pour le même investissement. Dès l’ouverture des piscines de plein air, je m’y suis rendu avac ma combinaison afin de me préparer à nager avec, car les sensations et les mouvements sont quand même légérement différents. Et puis le point très faible de ma préparation l’entraînement dans le lac avec la combi se résume à un petit quart d’heure le 22 mai dans le Léman… Il faut dire que je manque de motivation à entrer dans l’eau brune et froide afin d’y barboter pendant une demi-heure. Depuis début janvier, j’ai nagé plus de 84km dans les bassins de la région. Le vélo Il me semblait dès le début essentiel de préparer correctement la partie cycliste de ce triathlon afin de pouvoir terminer par la course à pied dans des conditions de fraîcheur physique » acceptables. Le principal problème c’est que je ne connais pas le parcours vélo, et que je ne suis jamais allé le repérer. Donc j’ai planifié mon entraînement d’après le profil affiché sur le site de la course. J’en ai déduit les deux points suivants Le parcours est relativement roulant sur un grand nombre de kilomètres, il sera donc essentiel d’avoir une position la plus aérodynamique possible tout en étant suffisemment confortable pour être soutenue assez lontemps. Au millieu de la boucle de 45 km se trouve une difficulté présentant de forts pourcentages pendant quelques kilomètres. Il faudra donc être prêt à affronter une bonne montée quand même. La préparation s’est donc axée sur les deux fronts pas mal de sorties incluant l’une des montées décites ci-dessous ainsi que des portions roulantes le tour du lac de joux par exemple afin de trouver une position confortable mais aussi efficace. Afin d’affronter sereinement les pourcentages des routes du canton de St-Gall, je me suis principalement entraîné dans les difficultés suivantes autour de chez moi La montée Moudon – Martherenges C’est dans cette montée que j’ai le plus travaillé en ce qui concerne les pourcentages de pente. Depuis Moudon, prendre la direction de Sottens. Après environ 2km de montée tranquille et régulière, en face de la caserne militaire, une petite route sur la droite monte directement à Martherenges, dans des pourcentages variant entre 8 et 12%. Le profil de la montée, mesuré depuis le panneau de sortie de Moudon jusqu’à celui d’entrée dans Martherenges La monté démarre à 537m d’altitude à la sortie de Moudon. L’arrivée est à 759m, une différence de 222m pour de parcours, ce qui nous donne de pente moyenne. Avec 7 montées, c’est la montée que j’ai le plus intégré dans mes différentes sortie de préparation, avec le meilleur temps effectué le 18 mai, en 17 min 44 km/h de moyenne. Le col du Mollendruz C’est le premier col que j’ai franchi à vélo. C’est aussi le plus accessible depuis chez moi, et donc logiquement un terrain de jeu intéressant quand on se prépare à la montée à vélo. Je grimpe en général le Mollendruz depuis L’Isle. Profil mesuré de la sortie de l’Isle jusqu’au panneau indiquant le sommet Le départ est à 675m, le col à 1184m, soit 509m de dénivellé pour de montée, une pente moyenne de donc, avec quelques passages entre 6 et 7%. 3 ascensions du Mollendruz dans la préparation de ce début d’année, avec un meilleur temps effectué le 25 mai, 35 minutes 04 secondes soit km/h de moyenne. Le col du Marchairuz L’autre col du Jura vaudois pas trop loin de chez moi, plus difficile que le Mollendruz, monté depuis Bière. Le profil de ce col, qui semble tiré à la règle, offre peu de moments de répits dans la montée. Démarrant à 735m d’altitude, le col culmine à 1449m, soit 714m de dénivellé pour soit une pente moyenne de Une seule montée du Marchairuz dans ma préparation pour Rapperswil, le 4 mai. Les de montée ont été franchis difficilement en 52 minutes 22, soit 11 km/h de moyenne. Conclusion sur l’entraînement vélo Finalement, j’ai trouvé une position qui me permette d’être efficace et confortable en même temps, sans être pénalisante dans les montées. J’aurais au final effectué plus de 1’400 km sur les routes sans compter les heures de rouleau depuis le début de l’année. Je me rassurais également sur mon endurance à bicyclette avec 4 sorties de plus de 90km dont la journée lausannoise du vélo qui comptaient bien plus de dénivellé positif que le parcours de Rapperswil. La préparation en course à pied Après le marathon de Lausanne en 2010, voilà au moins quelque chose pour laquelle j’avais plus d’expérience que nécessaire en vue de cette préparation! Avec trois séances par semaine en moyenne, depuis le mois de janvier une séance est consacrée à la VMA, les deux autres en endurance. A partir de mi-avril, la séance 30/30 » est remplacée par une séance au seuil, avec un échauffement en endurance puis 2 fois 10 à 15 minutes à un rythme légérement suppérieur à celui prévu pour la compétition. Une séance par semaine est consacrée à une sortie plus longue, entre 15 et 20 km en général, à un rythme endurance environ 75-80% de ma fréquence cardiaque maximum. Depuis le début de l’année, plus de 540km de course à pied à l’entraînement. Les entraînement d’enchaînement Vélo – Course à pied Il ne faudrait pas oublier avec ces entraînements dans chaque disciplinesque le triathlon consiste à les enchaîner dans la foulée! J’ai donc intégré plusieurs entraînements constitués d’une sortie à vélo immédiatement suivie d’une séance de course à pied. Le plus long entraînement a consisté en l’enchaînement d’une sortie à vélo de presque 100km montée du Mollendruz, tour du lac de Joux, retour suivi d’environ 7km de course à pied. D’autres comportaient moins de vélo entre 30 et 40km mais plus de course à pied jusqu’à 13km. Quand aux enchaînements natation – vélo je ne les ai jamais vraiment travaillés. A part une légère perte d’équilibre à la sortie de l’eau qui s’estompe très rapidement, je n’ai jamais éprouvé de difficultés majeures dans cette transition au cours de mes précédents triathlons. De plus, ces entraînements sont probablement les plus difficiles à organiser. Retour sur cet entraînement après la course Au moment du débriefing, voici ce que je constate la planification d’entraînement global était bon. La seule faiblesse de ce plan est le manque de séance d’enchaînement vélo – course à pied comprenant beaucoup de course à pied au delà de 15km. L’essentiel est de dire que cet entraînement m’a permis de terminer le half-Ironman prévu dans les temps prévu, et c’est là le plus important.
Quelledistance puis-je parcourir en vélo électrique? Combien de temps pouvez-vous faire du vélo électrique? L’EBike est idéal pour les trajets courts, comme les allers-retours pour le travail (10 à 15 km par exemple) mais peut également être utilisé pour des distances plus longues (jusqu’à 100 à 150 km).
Vous pouvez vous considérer comme un cycliste récréatif qui sort pour faire travailler ses muscles et prendre une bouffée d’air frais. Mais jusqu’où iriez-vous lors d’une promenade ordinaire à vélo, et combien de temps vous faudra-t-il pour faire un kilomètre à vélo ? C’est une question dans les milieux du vélo qui semble se poser assez souvent, alors répondons à la question aussi précisément que possible ! Alors, combien de temps faut-il pour faire un kilomètre à vélo ? Il y a beaucoup de réponses différentes à cette question puisque le temps varie pour tout le monde. Cependant, nous pouvons estimer la durée moyenne prise, puis regarder plus en détail, tout en considérant diverses situations Randonnée normale de tous les jours 6 minutes Route plate 3-4 minutes Course en descente 1 minute Cycliste professionnel 2,14 minutes Dans cet article, je vais mettre en évidence le temps moyen qu’une personne met à faire du vélo sur une distance de 1 mile. Je vais également considérer les différents facteurs qui affectent votre vitesse de conduite et donc le temps nécessaire pour couvrir cette distance. Il n’y a pas de réponse unique et précise à cette question car des différences existent en fonction du nombre de variables. Vous verrez également qu’une série de facteurs entrent en jeu en ce qui concerne la vitesse de la bicyclette, et cela affecte également le temps éventuel nécessaire pour couvrir une distance quelconque. Nous devons considérer Le terrain sur lequel vous roulez Votre état de forme physique Le type de vélo L’inclinaison de la route sur laquelle vous roulez Les conditions de vent à l’extérieur, etc. Toutes ces choses auront un grand mot à dire sur les niveaux de vitesse que vous atteignez. Mais, par souci de sensibilité, si nous maintenions tout constant, voici les temps moyens de vélo sur un mile pour une personne moyenne – Randonnée normale de tous les jours Route plate Collines Course en descente Cavaliers professionnels Quels sont les facteurs qui font varier le temps mis pour faire du vélo sur un mile ? La forme physique du cycliste Type de vélo L’équipement et les vêtements que vous avez Terrain Météo L’habileté du motard Pensées finales Randonnée normale de tous les jours Un mile pour une randonnée normale de tous les jours vous prendrait environ 6 minutes. A peu près n’importe qui qui peut monter sur un vélo et pédaler pourra confortablement gérer 10 mph, ce qui est aussi la vitesse moyenne pour un débutant de rang. Rappelez-vous que vous êtes juste sorti pour une promenade occasionnelle donc il n’y a pas besoin de vous mettre la pression. Vous n’avez pas établi la distance que vous allez parcourir et la durée du premier kilomètre ne devrait pas avoir d’importance. Lorsque tout est parfait, une vitesse de 10 mph serait idéale pour une promenade quotidienne tranquille qui vous permet d’apprécier le paysage autour de vous pendant que vous pédalez. Nous venons de réduire de 50% le prix de notre Bicycle Commuting Handbook’ de 71 pages pendant une courte période. Gardez la forme et économisez de l’argent en utilisant votre vélo pour plus de choses comme faire des courses et se rendre au travail. Téléchargez votre exemplaire ici. Route plate Un mille dans une course sur route plate prend environ 3 à 4 minutes. Sur une surface plate, la course est relativement fluide, sans obstacles importants, collines ou manœuvres délicates. Cela vous permettra facilement de gérer une vitesse moyenne de 17 à 18 mph ; ou, environ 30 à 40 minutes pour parcourir 10 miles à vélo. Collines Vous pourriez éventuellement doubler le temps dont vous auriez besoin 6 à 8 mins pour couvrir le même mile sur un terrain vallonné. La chute de vitesse sur un environnement montagneux par rapport à un environnement plat est beaucoup plus forte pour un cycliste ordinaire qu’elle ne l’est pour un professionnel. Les professionnels tels que ceux qui participent au Tour de France, par exemple, seront beaucoup plus rapides compte tenu de leurs compétences, de leur forme physique et de leur niveau d’endurance. Course en descente Un kilomètre en descente vous prendra environ 1 minute ou juste un peu moins pour terminer une course sur route. La course en descente est l’un des types de compétitions de vélo les plus rapides. N’oubliez pas que l’objectif ici est d’atteindre le bas de la descente en premier, ce qui signifie que les coureurs se déplacent aussi rapidement que possible. Les vitesses atteintes dans de telles circonstances sont assez stupéfiantes étant donné que vous avez la gravité pour vous propulser vers le bas encore plus rapidement. Elle sera même plus rapide si vous descendez dans le sens du vent qui vous pousse par derrière. La descente est un sport extrême qui est surtout pratiqué par des coureurs professionnels. Vous serez époustouflé d’apprendre que des vitesses aussi élevées que 80-100 mph peuvent être atteintes dans les courses de descente pas pour les âmes sensibles. Cavaliers professionnels Un cavalier professionnel met environ 2,14 minutes pour couvrir 1 mile. En encourageant le bord de la route lors d’un événement de cyclotourisme, il est étonnant de voir comment les cyclistes professionnels vêtus de spandex vous dépassent à une vitesse folle ! Il est en fait assez difficile de mesurer la vitesse à laquelle les cyclistes professionnels sur route peuvent arriver. Ces coureurs sont suffisamment habiles pour effectuer des manœuvres difficiles et suffisamment en forme pour dégager de grandes quantités d’énergie. Cependant, Bicycling Magazine » estime la vitesse moyenne d’un cycliste professionnel à 28 mph sur une surface plane. Cela représente environ 10 minutes prises pour couvrir une distance de 5 miles. Sur un terrain vallonné, les pros font paraître l’ascension sans effort étant donné qu’ils peuvent monter à environ 25 mph. Ils mettent environ 12 minutes pour couvrir une distance de 5 miles. Lisez aussi Le vélo est-il bon pour les douleurs lombaires ? Quels sont les facteurs qui font varier le temps mis pour faire du vélo sur un mile ? Les estimations ci-dessus sont un excellent moyen d’avoir une idée approximative du temps qu’il faudrait pour parcourir un kilomètre à vélo. Néanmoins, il existe un certain nombre d’autres facteurs qui entraînent des variations encore plus importantes de la vitesse et, par la suite, du temps nécessaire pour parcourir le mile. La prise en compte des variables suivantes vous donnera encore plus de réponses à la question – Combien de temps faut-il pour parcourir un mile à vélo ? La forme physique du cycliste La forme physique générale d’un cycliste aura un impact significatif sur le temps qu’il faut pour couvrir n’importe quelle distance. Pour un débutant, même 10 miles sembleraient une lutte pour rouler. Si vous avez été une patate de canapé au cours des derniers mois, faire du vélo sur de plus longues distances sera un effort jusqu’à ce que vous retrouviez votre forme physique. Vous aurez tendance à vous fatiguer plus facilement et cela affectera votre endurance sur n’importe quelle distance. Naturellement, vous êtes tenu de prendre les choses lentement et régulièrement pour pouvoir couvrir plus de terrain. D’autre part, une personne qui s’exerce fréquemment ou qui a passé l’hiver dans la salle de gym tous les matins sera capable de couvrir un mile en beaucoup moins de temps. Prenez par exemple les athlètes professionnels du Tour de France ; ces gars ont la forme physique idéale d’un motard. Ils ont conditionné leur corps pour endurer le cyclisme sur de longues distances à un rythme rapide et presque régulier. Leurs muscles sont assez forts pour générer une grande quantité d’énergie lorsqu’ils pédalent, propulsant le vélo plus rapidement pendant de plus longues périodes de temps. Type de vélo Le type de vélo que vous conduisez influencera également la vitesse que vous êtes en mesure d’atteindre et, par conséquent, le temps nécessaire pour parcourir un kilomètre à vélo. N’oubliez pas qu’il existe différents types de vélos, dont certains sont conçus pour des raisons spécifiques. Nous avons des vélos de montagne qui sont destinés aux terrains accidentés et des vélos de route que les gens utilisent pour faire des courses sur des surfaces planes. Comme tels, vous trouverez des cruisers qui sont adaptés à la conduite de loisirs et des vélos de tourisme qui vous emmèneront sur de longues distances tout en transportant tout votre kit de voyage. Tous ces différents vélos ont des caractéristiques différentes qui affectent leurs performances. Certains sont construits avec des matériaux plus légers comme le carbone et l’aluminium, ce qui les rend plus rapides que les vélos avec des composants plus lourds en acier. Vous devrez également prendre en compte le type de pneu. Les pneus souples seront beaucoup plus rapides sur une route plate et goudronnée, mais instables sur une route humide en latérite ou en murram avec une inclinaison. À l’inverse, un vélo avec des pneus à crampons pourrait être plus lent sur le goudron, mais s’avérer plus qu’adapté aux terrains accidentés avec des montées et des descentes glissantes. En outre, le type et le nombre de vitesses sur un vélo affecteront également l’effort requis et la vitesse à laquelle vous roulez sur diverses distances. Si vous avez beaucoup de vitesses, cela peut vous faciliter la vie lorsque vous changez de vitesse pour vous aider à naviguer sur différentes pentes. Pendant ce temps, pour une route généralement plate, vous n’avez pas besoin de vitesses, mais si vous en avez, vous pouvez augmenter votre vitesse de manière significative. L’équipement et les vêtements que vous avez Le type de vêtements que vous portez et l’équipement de votre vélo peuvent également influencer le temps nécessaire pour parcourir une distance spécifique. Pensez à un motard professionnel qui porte du spandex ; son poids total est relativement léger par rapport à une personne qui roule dans un jean et une veste. Le casque qu’il porte affecte également l’aérodynamisme et est susceptible d’être plus profilé pour une conduite douce contre le courant du vent. La quantité totale d’équipement transporté sur le vélo affectera le poids global du vélo et donc l’énergie nécessaire pour pédaler. Si vous portez, une bouteille d’eau, une trousse à outils, une trousse de premiers soins, etc. Vous serez certainement plus lent que quelqu’un avec un vélo exempt de tout équipement supplémentaire. En fin de compte, la principale différence vient de l’efficacité. On dit qu’un cycliste qui utilise efficacement son engrenage dans les collines et sur les plats ajoute environ 50% à sa vitesse. Savez-vous que REI &la coopérative REI a une vente et un dégagement de vélos ? Cliquez ICI pour le vérifier Terrain Il est tout à fait évident qu’un morceau de macadam plat est beaucoup plus facile à rouler que le terrain de vélo de montagne dans les bois près de votre maison. Les bois peuvent avoir de nombreux obstacles tels que de la boue collante, des branches tombées et des feuilles glissantes qui peuvent en faire un cauchemar à naviguer. Ce type de terrain nécessitera quelques minutes supplémentaires pour le traverser. Un autre aspect du terrain sur lequel vous roulez est l’inclinaison sur laquelle vous vous trouvez. Quel que soit le terrain, vous serez toujours plus rapide en pédalant en descente que sur une surface plane ou en montée. C’est parce que la gravité sera de votre côté et qu’il y aura peu de besoin de gaspiller votre énergie à pédaler fort, en fait, dans de nombreuses situations, il se peut que vous soyez en roue libre, nécessitant peu ou pas d’énergie de votre part, mais peut-être beaucoup de concentration cependant. C’est tout à fait le contraire de la montée où, parce que la gravité vous tire vers le bas, vous pouvez avoir à dépenser considérablement plus d’énergie parce que vous pédalez constamment le vélo, ce qui peut vous épuiser sur une très courte distance ou période de temps. Météo La météo est un autre facteur possiblement important qui influencera le temps moyen pour faire un kilomètre à vélo. Si les conditions extérieures sont venteuses, cela pourrait signifier que vous volez pratiquement le long de la route grâce à un bon vent arrière qui vous propulse par derrière. Contrairement à cela cependant, cela pourrait aussi signifier que vous gagnez à peine de la vitesse en luttant contre les horribles vents de face qui vous poussent. En outre, s’il a plu toute la journée et que le sol est boueux ou glissant ; la négociation peut vous prendre plus de temps pour parcourir un kilomètre à vélo par rapport à lorsque le temps est ensoleillé et que le sol est sec et plus stable. L’habileté du motard Un motard expérimenté aura évidemment un avantage sur un motard novice lorsqu’il s’agit de couvrir certains terrains ou de longues distances. Il/elle saura mieux naviguer sur les différents terrains et utiliser efficacement les vitesses de la moto. Probablement en raison d’une plus grande endurance, ils peuvent également être en mesure de maintenir une vitesse de pointe stable lorsqu’elle est atteinte, en gérant la quantité d’énergie dépensée en pédalant. En revanche, un cycliste novice aura de nombreux problèmes à gérer les terrains de vélo de montagne et sur les surfaces plates, il aura du mal à maintenir certains niveaux de vitesse. Pensées finales Alors, combien de temps vous faudra-t-il pour parcourir un kilomètre à vélo ? Comme nous pouvons le voir, il n’y a pas de réponse réelle ou précise à cette question, il ne peut y avoir que des estimations qui peuvent différer énormément en fonction d’un grand nombre de facteurs. Cependant, vous êtes invité à faire un essai et à tester votre temps par vous-même. Enregistrez le temps que vous mettez pour parcourir un mile sur différents terrains, dans différentes circonstances et voyez si vous pouvez améliorer vos propres temps à l’avenir, au fur et à mesure que vous vous améliorez, ou bien fixez simplement votre temps comme référence et essayez de le respecter. Quoi que soit votre temps pour parcourir un mile à vélo, essayez d’apprécier l’expérience.
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40 km en vélo combien de temps